Je ne m’arrêterai pas tant que je n’aurai pas senti ton âme prendre ma dernière respiration.
Il est clair qu’après une telle lecture, je ne verrais plus les écureuils de la même manière !!!
5 ans après le drame qui l’a rendu amnésique, Trick qui ne souhaite plus entrer en contact la gente féminine à moins que cela ait un rapport avec sa vie professionnelle, va croiser le chemin de la belle infirmière, Darby. En dépit de l'(im)possible rapprochement entre nos héros, les sentiments vont facilement trouver leur place dans leur relation.
Ayant lu, juste avant une histoire avec la même trame de départ, j’ai commencé ma lecture en me posant quelques questions sur l’ambiguïté sexuelle de Trick. Outre ce détail, si je puis dire, le personnage de Trick en lui-même est assez intriguant, 5 ans d’amnésie, aucune émission « perdue de recherche » à son égard. Rien, nada. Mais au fil des pages, l’amnésie se dévoile petit à petit. Du côté du rôle féminin, nous avons Darby Carmichael, qui m’a directement plu, son soliloque de départ, me promettait un bon moment en sa compagnie et elle n’a pas failli. Bien au contraire mon attachement à son encontre est partie croissant au fil de ma lecture. On découvre quelques personnages annexes, la grand-mère de Darby qui m’a fait penser à la mamy de Vic dans la Boum, Tamsen et son frère les alliés de Trick, ainsi que Rachel et son époux.
Seconde lecture de cette auteure, et je ressors encore avec un nid de papillon dans le bidou et des étoiles pleins les yeux. Certes, il y a eu de petites longueurs autour du passé de Trick, mais pas de quoi plomber une lecture. On reste dans du raisonnable.
En bref … une lecture touchante, captivante et qui ne s’achève nullement sur une amnésie !
Le mot de la fin …
Je ne m’aimerai jamais si je le hais, et je ne me haïrai jamais si je l’aime. Il n’y a donc qu’un seul choix : l’aimer
… Tu m’as choisie. Chaque fois que je retiens mon souffle… espérant, priant, ayant besoin que tu me choisisses… tu le fais. Tu m’as choisie et la dernière fois que quelqu’un m’a choisie, c’était le jour de ma naissance… et puis elle est morte.
Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Maïween pour l’envoi de ce Service-Presse