MacCoy, tome 2 – L’Ours et le Taureau de Alexiane Thill

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On ne gouverne pas avec son coeur, mais avec sa raison, tenté-je de me répéter.

Vous ai-je déjà dit à quel point cette lecture m’a transporté… Etant donné qu’il s’agit d’un second opus, en mon sens on peut belle et bien parler d’une série que j’espère aussi longue que les Nora Roberts!

Que se passe-t-il de bon dans les Highlands de l’Ecosse moderne ? ÉNORMÉMENT de choses, et je ne sais par laquelle commencer sans spoiles, navré sans divulgâcher votre attente ou votre plaisir et mettre tout en oeuvre pour attiser votre curiosité ! Donc si vous avez lu le précédent tome, je vais essayer pour vous d’être le plus vague possible pour ajouter de l’acide sur votre attente et pour les autres vous risquez de ne pas comprendre mon charabia !

Deux mois après la grande révélation, Ed’ a décidé d’endosser son rôle au sein de son clan, bien que vivant recluse parmi les siens, Ed’ n’a pas oublié la traîtrise dont elle fut la victime et pour mettre un terme à ce supplice, elle va accepter l’offre d’alliance temporaire des ennemis des MacCoy.  Mais avant même de mettre en place son plan, son tuteur va venir s’installer dans son domaine, pour lui rappeler que malgré son rôle de cheffe elle reste sa pupille et qu’il lui ai donc impossible de porter atteinte à sa personne et de faire tout ce qui lui dit, comme d’épouser le fils du Duc d’Argyll.

L’histoire commence directement après la découverte de Ed’, elle apprend son rôle de  » je rase les murs et évite mes sujets », autant j’ai eu envie de la secouer autant je comprends sa position. Débarquer après son père, le poids de la double trahison sur ses épaules, tenter de se faire respecter … A juste 24 ans on lui en demande beaucoup dans un timing fort serré ! Elle va se battre contre elle, contre les autres et plus que tout contre ses sentiments à l’égard de Caleb.  En ce qui concerne Caleb, on en apprend un peu plus sur lui et ses lourds secrets, je suis tombée un rien plus gaga de ce personnage.  Il reste une force brute, même avec sa petite armée qui m’a une fois de plus saisi et scotché. Bien que mettant principalement en scène deux clans, on retrouve les héros de la première heure, ceux qui ont donné naissance à cette histoire.  Caleb se dévoile, ses démons sont derrière lui.  J’avais déjà eu quelques attachements à son encontre et ce second opus m’a réconforté sur le petit Ours qu’il est.  Phèdre est définitivement la star du roman elle le porte à bout de bras, son évolution est en totale adéquation avec la jeune meurtri qu’elle est. La Garde des MacCoy se fait encore remarquer.  On découvre un peu plus le clan de Phèdre, j’ai encore quelques doutes sur Callum, j’espère que les tomes – oui oui LES tomes – suivants seront me rassurer ou confirmer ma parano à son encontre.  Oui, j’aime ça me torturer les neurones !

Une fois de plus Alexiane a respecté l’ambiance d’une romance historique, je dirais même : aucune fausse note de ce côté-là tu peux dormir sur tes deux oreilles – je ne sais pas comment tu vas réellement concrétiser cet exploit, mais tu comprends l’idée -, j’ai encore été transportée, captivée et ai été culbutée par le plaisir.  Again, Miss ♥♥♥

Pour conclure … Un second opus tout en plaisir, suspense qui fera plus que plaisir aux lecteurs.trices de la première heure !!!

Et le mot de la fin… Qui crée un doute suspensif

Je ne peux pas concevoir que Phèdre disparaisse avant moi.  C’est grâce à elle que mon monde continue de tourner.  Elle a redonné un sens à mon existence.  Désormais, je vis pour elle.

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 – Ne me regarde pas comme ça, murmuré-je.

Mes yeux sont explosés, striés de veinules rouge sang.  Gonflés comme si j’avais pleuré.  Mais je ne sais plus ce que c’est… Je ne sais plus comment faire.

Ai-je encore des larmes?  Moi, le chef MacCoy?  Ai-je encore le droit d’en verser?

–  Ne me regarde pas comme ça… J’ai fait ce que j’ai pu.  Je ne suis pas un héros.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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MacCoy, tome 1.5 – Dans les yeux de Caleb de Alexiane Thill

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Ses traits se décomposent, son regard s’écarquille. Elle a l’air si vulnérable… Ne pouvait-elle pas rester dans l’ombre ? Mais est-ce une vie de se terrer sans jamais voir la lumière ?

Quand il n’y en a plus … Il y en a encore – rire sadique -. Il est clair que si vous n’avez pas lu le Tome 1, stoppez ici votre curiosité car ce tome 1.5 revient sur les éléments clés du tome 1 vue et ressenti par Caleb, bien qu’on apprenne certaines choses, j’ai apprécié – et un peu détesté … Suis une curieuse – qu’Alexia reste vague sur les actions de Caleb ou en tout cas sur l’acte de fin * danse de la frustration*.

Au fil des pages, Caleb nous donne sa version de l’histoire qui ne diffère en rien à ce que j’avais pu imaginer , mais cela reste malgré tout fort intéressant.

Enfin, petite découverte sur le net.  On ne m’avait pas envoyé d’émail ou bien il est encore dans mes spams que je vous invite à lire directement après la fin du Tome 1 en attendant la suite des aventures des MacCoy !

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On ne se sacrifie pas par amour. On survit pour lui.
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MacCoy, tome 1 – L’Ogre et le Chardon

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C’est à elle de décider si elle te suit ou non. Nous sommes au XXI e siècle, MacCoy. Même si tu l’as revendiquée et qu’elle t’appartient, cette femme reste un être humain. Pas un objet. Le monde a évolué, l’Ogre. Il est temps de t’adapter à la nouvelle condition féminine.

Avant de me plonger dans cette lecture je dois avouer que j’étais plus qu’émoustillée : une romance historique ou RH dans l’univers de la New Romance, est-ce que l’auteure allait nous pondre une vrai RH ou une tentative de RH et le couperet est tombé au bout du troisième chapitre : Cette Romance historique des temps moderne est une romance historique pure jus !

Je m’explique ….

Je ne vais pas revenir sur le couplet, je ne lis jamais les résumés et mon emballement à me lancer dans l’aventure à la suite des nombreux retours positifs autour de cette histoire.  Mais quel ne fut pas mon étonnement lorsqu’au bout de quelques paragraphes, je découvre la mention d’un avion ! Un avion, mais mais  » Houston, I’ve a problem ! », ce roman est censé se passer entre le 15ème et le 18ème siècle, pas au 21ème, qu’est-ce qui se passe ? Me serais-je laissée berné par la cover ? Mais j’ai tenu bon et je ne regrette nullement cela.

Dix ans après la disparition de son père et dix ans qu’elle fuit son passé/son identité, Phèdre Duval aka Ed’ débarque en Écosse afin d’honorer la dernière volonté de celui-ci, mais plus que tout pour mettre de la distance entre elle et son tortionnaire.  Sitôt installée chez les Bains- Elia, Sean et le fils, Callum -sa famille d’accueil, Ed’ va se mettre en quête d’un emploi à  » The Unicorn », le bar tenu par Lachlan O’Connor dit l’Irlandais. Alors qu’elle tend à garder un voile sur son passage écossais, Ed’ va se retrouver au cœur d’une lutte clanique et découvrir que derrière l’image de l’Écosse du 21ème siècle se cache une Écosse encore dicté par les codes et les uses des Highlands des siècles dernier. Ne pouvant la laisser en liberté et devant la protéger des clans, Caleb le chef du clan MacCoy va faire d’Ed sa pupille involontaire ou elle va découvrir un petit clan au grand secret.

Oui, je le dis avec un grand OUI ! Si vous omettez l’avion et tous les outils de la technologie moderne, ce roman est une RH pure jus.  j’ai été totalement captivée par tous les aspects et tous le respect qu’Alexis a tenu à mettre/garder pour son histoire.

Au fil des pages on entre dans les affres des Highlands avec les luttes des clans : Mac Kenzie, Campbell, Douglas, Fraser, MacDonald, Sutherland et mon préféré de tout l’univers * yeux qui brillent* celui … des MacLoed !!!!

Les MacCoy est certes un petit clan au regard de celui des Campbell qui fait partie des Sept, mais cela ne l’empêche nullement de détenir sa garde – secrète – : Dyclan/Limier, Ewen/Bouclier, Duncan/Glaive, Brahn/Serpent, Roy/Ange, Caleb le Chef dit l’Ogre

On voyage sur différentes îles écossaises, celle des Mac Coy, l’île de Inchkeith – Linne Foirthe -île de Skye ou se trouve le domaine des MacLoed et le château de Dunvegan, Inveraray le domaine du Duc d’Argyll, Henry Campbell, la suisse écossaise  » Edimbourg » ou se trouve le bar de l’Irlandais avec son coin VVIP, seule zone neutre ou les clans peuvent se retrouvent sans risquer d’être retrouvé mort dans la seconde.

Au fil des pages je me demandais ou l’auteur allait mener son histoire, impossible de lâcher ma lecture à chaque fin de chapitre, j’étais dans la totale impossibilité de mettre un temps de pause.  Le suspense autour du tortionnaire de Ed’, le secret de Caleb, la trame en elle-même, la découverte et plus que tout  le plaisir, auront été mes compagnons durant ce petit périple.

Pour conclure … Vous devez le lire pour le croire, si on m’avait dit qu’une telle histoire était possible, je n’y aurais pas cru car la RH est ma romance de prédilection et ce petit coup de fouet m’a transporté ! Je le recommande.

Et le mot de la fin…

Il est des sentiments que l’on ne maîtrise pas, milady. Loués sont ceux qui réussissent à résister… et bien tristes, ceux qui ne cèdent pas à la tentation.

Duncan MacCoy

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— Et avec elles… c’est pareil ?

— Pareil que quoi ?

— Que dans le placard. Je marque une pause avant d’ajouter :

— Avec moi. Un frisson parcourt Caleb, ses muscles se tendent.

— Et comment était-ce, dans ce placard ? me demande-t-il avec douceur.

Mon esprit me ramène à ce moment, en quête du mot approprié.

— Passionné, finis-je par lâcher. Il le répète du bout des lèvres tout en se penchant en arrière, appuyé sur ses coudes.

— Non, dit-il. C’est différent.

— Comment ?

— Ce n’est pas « passionné ».

— Qu’est-ce que ça signifie ? Qu’est-ce qui n’est pas pareil ? Caleb m’observe, ses yeux s’attardant sur ma lèvre fendue.

— Tout. Mon cœur rate un battement. — Et que contient ce « tout » ?

Le pouce de MacCoy vient caresser ma blessure. Je me laisse faire, hypnotisée par son contact, que je devrais pourtant repousser.

— Je n’ai pas l’impression de perdre mon monde lorsqu’on m’annonce qu’elles ont frôlé la mort.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Paris by night Robyne Max Chavalan

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La compréhension mène à la déception.  La déception à l’amertume, l’amertume à la vengeance.  Et ce n’est jamais vraiment beau.

Définitivement pas bon.  Autant j’ai apprécié ma lecture, autant je lui ai trouvé quelques fois quelques longueurs dans les actions de L’Homme.

Malgré la normalité de sa soirée au cabaret, Circee est plus qu’impatiente de monter sur scène, non pas pour l’excitation de danser, mais de danser pour L’Homme.

Tout d’abord j’ai eu du mal avec le petit nom donné à cet inconnu l’Homme avec un H majuscule qui fait référence à l’homme et la femme.  Même si cela m’a mise un peu mal à l’aise, je n’en ai pas eu pour autant de l’urticaire, j’ai compris la volonté de Robyne de vouloir démarquer son personnage, mais il n’empêche que cela aurait pu être fait différemment, une écriture en italique.

Pour ce qui est de la trame, on apprend assez vite que les héros ont un passé commun, mais notre homme n’est pas aussi ouvert qu’il voudrait le montrer.  Tout est bien calculé dans ces actions, il y avait quelques longueurs, un peu de redondance et quelques envies de secouer Paris qui souffrait un peu d’un déni (in)volontaire.  Je ne suis pas tombée en amour face au personnage de Paris, mais elle est reste commode et facile.  Pour ce qui est de l’Homm, cela a été un rien plus difficile, il a pris du temps à se dévoiler et moi à m’approprier le personnage.  Mais rien de bien dramatique, par contre les personnages qui ont capté toutes mon attention sont leurs amis, David et Lola – suite ? -.

En bref, malgré un début nominatif un peu difficile, quelques longueurs, un suspense qui a pris un rien de temps à se dévoiler la tram se laisse lire.

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Toi, Paris, tu es une fleur d’innocence dans une enveloppe d’inconvenance. Tu t’es épanouie dans l’adversité.  C’est ce qui fait qu’à mes yeux tu es si spéciale…

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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Baby random, tome 3 de Gaia Alexia

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Attention si vous n’avez pas lu les précédents tomes vous risquez de vous spoilers l’histoire.

A chacun ses démons, ça ne veut pas dire que l’un souffre moins que l’autre.

Cet opus est clairement dédié à Roman Weiss, attention je n’ai rien contre Célia, mais sans Roman pas d’histoire… En tout cas pas une telle fin !

Dernier volume coupé en deux parties.  La première est principalement axée sur le nouveau rôle de Celia, dans le plan de Roman #RécupererNotreFille.

Alors que Célia essaye de réparer son erreur, Roman va lui proposer de récupérer Lou.  Pour cela, elle va devoir intégrer la compagnie Weiss, s’attirer les bonnes grâces du paternel, ne surtout pas poser trop de question et accepter d’être le larbin de l’ex-petite amie de Roman.

Oui cet opus est clairement dédié à Roman, je n’ai rien contre Célia.  Son personnage aussi se prend un petit uppercut.  Roman est descendu de sa tour d’ivoire pour les femmes de sa vie, il l’est porte à bout de bras, il met tout le monde en danger et pourtant il tient bon.  Célia va au fil de la seconde partie redevenir le personnage que j’avais apprécié, je craignais la rechute, mais elle a tenu bon, la petite … Oui, oui elle a encore envoyé du lourd.  Rhoooo, j’ai le droit de faire des petites boutades !

Seconde série, de l’auteure et elle sait ce qu’elle veut, ce qu’elle souhaite nous faire ressentir et le message est passé à 1000% en ce qui me concerne.  Je termine cette trilogie avec bon #badaboum.  L’évolution des personnages étaient mi-larmoyante mi-excitante.  On découvre l’envers de Roman, l’homme derrière le faste, le passé derrière tout ces non-dits … Quand je vous disais que ce roman lui était dédié … Il faut me croire * regard d’ange *.  J’ai vraiment tout adoré, les pages ont défilés et si je veux être honnête avec vous – genre je vous mens depuis le début … C’est une façon de parler -, j’ai enchaîné les deux derniers opus sans faire de pause entre, le plaisir ne pouvait pas attendre.  Lisez et vous comprendrez mon propos.

Enfin, très très trèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèsssssssssss bon moment de lecture, une histoire #babyboom qui aura su jouer sur ma corde maternelle et de plaisir – littéraire -.  A LIRE SANS MODERATION !

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Je suis le seul homme qui pourra t’aimer autant que tu le mérites… il dit plus bas.  Je suis le seul home qui te respectera jusqu’à ton dernier souffle pour tout ce que tu as fait pour lui.  Je suis le seul homme qui ne t’oubliera jamais, même si tu décides le laisser… Je suis le seul homme qui …

Je tiens encore à remercier l’Editeur et plus particulièrement Morgane et Célia pour l’envoi de ce Service-Presse

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