Cooper Training, tome 2 – Calvin & Bonus de Maloria Cassis

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Mince, alors… Qui aurait cru que les deux soeurs Wilkinson trouveraient l’amour dans une salle de sport ?

Avant de me mettre dans l’ambiance de ce second opus, j’ai refait une lecture du tome 1 et je suis ravie de moi car mon avis sur le couple Julian/Amy n’était nullement différent de ma première impression. Ça va je garde une certaine constance et fidélité de mon ressenti.

Mais revenons-en à ce duo de lecture !

Un appart, un job, un enfant et un sex-friend, Erin a tout pour s’épanouir. Malheureusement elle va vite se rendre compte que son emploi dans le prêt-à-porter strict n’est pas sa tasse de thé, qu’elle s’attache de plus en plus à son sex-friend, Calvin, qui est accessoirement le frère du mec de sa soeur, mais quand en plus de tout ce stress un démon du passé va resurgir pour se (re)faire une place dans sa vie.

Le personnage d’Erin m’avait déjà fortement intrigué dans le précédent opus, cette jeune maman célibataire – 20 ans à l’annonce de sa grossesse -, qui apprend son rôle au fur et à mesure que son fils Léon grandit, qui va se prendre en main pour elle et surtout pour son fils, m’a fait un petit #Badaboum mais je pense que ce qui m’a touché, si je puis dire c’est son jeune âge et le fait qu’elle ne lâche rien ! BON ! Il est clair que le côté indépendante à 22 ans avec un gosse m’a un peu fait lever les yeux au ciel, mais tout cela donnait une touch « il ne faut jamais baisser les bras et garder le cap face à l’adversité ».  Tout comme Erin, le personnage de Calvin avait déjà montré sa facette tombeur et il me tardait de rencontrer le père de Nina.  Je devrais dire le papa-poule de Nina.  Il a le sens des priorités vivre, profiter mais plus que tout garder son focus sur sa fille… Ouiiiiiii mon petit coeur de maman a fondu.

L’histoire se laisse lire, on ne reste pas dans un moment figé car la trame est en perpetuel mouvement, entre les vies familiales et professionnels de nos héros, le passé d’Erin.  Je l’avoue une scène m’a fait bondir de mon lit – oui je lisais dans mon lit -, #AttentionSpoiles Laisser son gosse à un inconnu pour sortir en boite … Euuuhhhh ça par contre, fait très cliché et frôlait la Une de  » Enquête »… Oui, la petite revue destiné au faits divers raconté comme si on vivait l’instant au moment présent #frissons. Mais heureusement pour moi, nous, tout s’est bien passé et j’ai pu reprendre mon souffle et ma lecture.

Le bonus, qui je le rappelle est totalement gratuit, nous offre un grand moment de sportif en action avec la participation de nos héros à Fire Factor ! Chaque frère Cooper a voix au chapitre, Harry continue de prolonger le suspense sur sa relation avec Maddie et soit j’ai eu la berlue ou le prénom de l’ex de Calvin est passé de Cameron à Courtney.  Affaire à suivre !

Pour conclure, seconde lecture axée sur la monoparentalité, et la seconde chance amoureuse.

#WhyNot !

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Parler de ce que je connais et de ce que j’aime, même l’espace d’une minute, m’a fait un bien fou.  Un peu comme si j’avais autorisé la vraie Erin à sortir de sa cachette pour un temps.  Espérons que cela arrive plus souvent à l’avenir…

Cooper Training, tome 2 – Calvin

La vie n’aurait pas pu m’offrir mieux que d’être toujours aussi complice avec mes frères.  Et le destin nous a fait le plus beau ds cadeaux en mettant sur notre chemin les soeurs Wilkinson.  Il ne reste plus que le dernier Cooper à caser.

Julian dans Cooper Training Bonus

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Alexa Hudson

And then ? de Karina Halle & Scott Mackenzie

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Je suis Lael Ramsey et j’ai plus d’un tour dans mon sac.

J’avais commencé ce roman en 2019, en plein examen, une chose entrainant une autre, je ne l’ai jamais terminé et je n’étais pas dans l’ambiance.  Nouvelle année oblige, j’ai repris ma lecture, en tout cas je l’ai reprise au début car je n’avais pas accroché, j’avais mis cela sur le coup du stress et au final il s’agissait de l’histoire en elle-même.  Le road-trip musical ne m’a pas touché comme il fallait.

D’aussi loin qu’elle s’en souvient Lael a toujours été fan du groupe de rock « And then », et plus particulièrement de son chanteur, Brad.  Bien des années plus tard, alors que le groupe vient de perdre son bassiste, Lael va participer au casting pour endosser la cape temporaire de musicienne et enfin vivre de sa passion pour la musique et d’approcher d’un peu plus près l’homme qui fait battre son coeur depuis l’adolescence.

Comme dis précédemment, je n’ai pas totalement accroché au road-trip musical, les personnages étaient basiques, je n’ai pas eu d’accro avec ce duo.  Certes le passé familial de Brad était touchant, mais même cela ne m’a pas fait chavirer dans ses bras ou donner envie d’en savoir plus pour le chanteur.  J’ai pris l’info et sans plus. Lael est un personnage intéressant, elle n’a pas fait crier le #GirlPower qui est en moi ou ne m’a fait hurler de rage, elle a glissé sur moi.  Je me suis sentie face à ce couple comme l’eau et l’huile, on avait beau essayé de nous mélanger on revenait chacun de notre côté.  Même les menaces du patriarche, Ronald Ramsay et accessoirement producteur de Brad et castrateur de talent n’ont réussi à me donner ma part de frisson dans la relation-professionnelle de Lael et Brad.  Seul point positif, le ressenti sur les rapports professionnels de Brad avec ses fans et les médias.  Il me faudra attendre la toute fin pour apprécier un temps soit peu la trame.

Cet accro ne met nullement en doute mon appréciation de l’auteure, mais malheureusement le duo Halle-Mackenzie n’aura pas pris comme il fallait.

Enfin, un road-trip qui devait m’emmener quelques notes de plaisir et qui n’a pas atteint la tonalité de mon plaisir.

#TantPis

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(…)

Mon conseil est à l’opposé de ce que tu crois, déclare-t-il en se penchant vers moi.  Tu dois avoir la foi, Lael Ramsey.  Ce beau monde idéalisé, tu ne dois jamais le perdre de vue.  Il doit continuer à vivre en toi.  Ce milieu change les gens, il les pousse à se réfugier dans leur coquille.  La vie fait ça à tout le monde, mais dans l’industrie musicale, c’est encore pire.  C’est pourquoi tu dois garder cette pureté et cette bonté d’âme qui sont les tiennes.  Fais en sorte qu’elle vive à jamais.  Continue à voir le monde à travers des verres roses bonbon.  Il sera tellement plus joli comme ça ! Aie foi en l’amour et en les bienfaits du changement.  De tout ton être.

Jean-Marc musicien à Lael

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Jessica et Olivia pour l’envoi de ce Service-Presse

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Un bonheur imparfait de Colleen Hoover

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Putain de bordel de merde ! Colleen, m’a encore eu en plein coeur.  J’ai lu ce roman deux fois. Oui, deux fois ! La première fois, je pensais à une hallucination et la seconde n’a fait que me confirmé que cette auteure était au top of the top !

Cette histoire m’a touché, non pas seulement pour le côté sensible de la chose.  Mais parce qu’elle a fait ressortir de vieilles douleurs, que je pensais avoir oublier avec la venue de mes filles et pourtant, il a suffit d’un roman, d’une histoire pour que tous mes souvenirs me reviennent et que je me revois dans les traits et les actions de Quinn et que je réentrevois, ressens la peine qu’a été celle de mon mari #pleurepas !

Tandis qu’elle est sur le point de se marier, Quinn va découvrir que son cher fiancé, Ethan, la trompe avec Sacha, la petite amie de Graham.  Bien des mois après cette double confrontations, Quinn et Graham vont entamer une relation et se marier.  Alors qu’ils coulent des jours heureux d’apparence, le couple n’a qu’un seul souhait : fonder une vraie famille.

Je suis née.  C’est tout ce que j’aurai accompli jusqu’à ma mort.  Je reste au bord du cycle de la vie à regarder le monde tourner et je demeure au point mort.

Je ne dirais pas que j’ai été happée au fil de pages, j’ai vraiment eu cette sensation d’être Quinn, sa douleur m’a bouffé les entrailles, à chaque page, je me demandais ce qui allait m’attendre comment Colleen allait interpréter les échecs du couple, comment Colleen allait nous faire ressentir la douleur de Quinn à chaque couler de sang et test négatifs, ses silences, ses pleurs, cette façade aux yeux de la société.  Tout, tout, tout était authentique, à mes yeux.  J’en ai pleuré de satisfaction.  Oui de satisfaction, car je ne me sentais pas roulé dans la farine, pas d’excès ou d’abus, c’était vrai à mes yeux.  Cette douleur était réel.

Il se rapproche d’un pas assuré, pose une main près de ma tête, me plaque contre la porte. Et je comprends alors pourquoi je le trouve si séduisant.

C’est parce qu’avec lui je me sens séduisante. Avec sa façon de me regarder, de me parler… je ne pense pas que personne d’autre m’ait donné l’impression d’être aussi belle.

J’ai également apprécié que Colleen face évoluer la trame avec des séquences avant pour nous montrer la face bonheur du couple, ses débuts insouciants, ses souhaits, cet amour insouciant qui ne connait pas encore la face B.  J’ai honte de l’écrire, mais bien qu’ayant apprécié ces moments, ce n’était pas ma partie préféré du roman, je voulais vivre dans le moment présent, avec Quinn, garder certes ces bons moments ne pas les oublier, mais je peux vous assurer que lorsque vous souhaitez fonder une famille, vous les oublier très vite !

Outre le point de vue de Quinn, il était bon de lire, le ressenti de Graham, car un couple et un enfant ça se fait à deux ! Lorsque l’on souffre on a l’impression d’être le seul à souffrir, on reste dans sa bulle on se donne une apparence, et les petites remarques/attentions de Graham étaient bien placées.  Quant on dit que « la patience est une vertu » et bien j’y crois quand je vois le personnage de Graham.  Je ne peux qu’applaudir et me ressentir coupable #pleurepas !

Hoover m’a une fois de plus catapulté avec cette histoire sensible sur la fécondité et le souhait d’une femme, d’un couple à vouloir devenir mère, parent.  Certains pourraient penser – à tort-, qu’à force ce n’est plus un souhait mais un caprice, mais je me souviens de ce que mon mari m’a dit à l’époque et il n’y avait aucun caprice, juste un projet de vie de commun.

Pour conclure… Il n’y a pas de vrais mots de fin après une telle histoire : Ajout PAL !

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Si j’étais mère, je m’émerveillerais de chaque instant de la vie de mes enfants.  Je serais reconnaissante de les voir geindre ou pleurer de soigner leurs maladies, de les entendre me répondre avec insolence.  Je chérirais chaque seconde qu’ils passeraient à la maison en été et ils me manqueraient sans cesse pendant l’école.

Quinn

Je t’aime chaque seconde de chaque jour depuis l’instant où j’ai posé les yeux sur toi.  Je t’aime plus encore maintenant que le jour où on s’est mariés.  Je t’aime, Quinn.  Merde !

Graham

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marie et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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The Shakespeare Sisters, tome 3 – La magie de l’hiver de Carrie Elks

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ShowTime avec la benjamine des soeurs Shakespaere : Kitty !

Après moult refus, Kitty en est sûr, cette incursion dans la vie du grand producteur Everett Klein, va lui permettre d’obtenir le stage dont elle a besoin pour terminer son année.  Même s’il s’agit d’un baby-sitting, Kitty compte mettre toute les chances de son côté pour se faire remarquer de son patron, ce qu’elle n’avait pas prévu c’était de tomber sur le charme d’Adam, le frère taciturne de son patron.

Tout comme les précédents romans, l’opus de Kitty fut fort captivant.  Son personnage m’avait quelque peu marqué et j’ai découvert une jeune demoiselle pleine d’ambition, de rêve et plaisante.  Même s’il est vrai que j’ai eu un petit pincement au coeur pour elle, et son entretien qui se termine par un baby-sitting forcé ! Mais il faut bien commencer dans le bas de l’échelle.  Du côté d’Adam, le côté ours mal-léché qui se dévoile au fil des pages, m’a fait un petit #badaboum.  Son personnage était touchant, plein d’interrogation et qui a eu tout mon soutien !

On prend des – bonnes – nouvelles des soeurs, ainsi que de la famille Shakespeare.

Pour conclure, Carrie, nous offre un petit moment cocooning pour cet instant hivernal rempli de magie !

#Alire

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Ce n’était pas tout à fait un conte de fée, du moins par comme ceux qu’elle lisait dans son enfance.  C’était plus sombre et plus réel.  Pourtant, tandis qu’il l’emportait vers sa chambre, elle s’aperçut qu’elle préférait largement cette version.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Jessica et Olivia/Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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Tome 1Tome 2

Love and other words de Christina Lauren

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Je m’accorde trois secondes supplémentaires pour le regarder – encore un coup de poing dans le ventre. C’est mon alter ego. Il a toujours été mon alter ego. Mon meilleur ami, mon confident, probablement l’amour de ma vie. Et j’ai passé les onze dernières années à être furieuse et moralisatrice. Mais finalement, c’est lui qui a créé une fissure entre nous, avant que le destin nous sépare.

Onze ans après avoir fermé la porte qui la reliait à sa bouée de sauvetage, Macy, jeune interne, va croiser le chemin, d’Eliott, son double, celui qui a été là, présent, pour elle après la mort brutale de sa mère et son emménagement dans sa nouvelle vi(ll)e. Bien qu’ayant masqué son amour pour Eliott, Macy ne peut donner suite aux sentiments de celui-ci, car Macy est fiancée et elle est sur le point de se marier.

Une fois de plus le duo CL m’a transporté, tout était bon dans cette histoire. Macy est une ado lorsqu’elle perd sa mère, jeune complexée en pleine phase de mutation, va découvrir en Eliott, son premier en tout : amitié, confidence, amour et chagrin d’amour. Son personnage est agréable, elle est très loin du cliché de la jeune ado, la jeune femme porte encore en elle les séquelles de cette jeunesse – triplement – perdu. Du côté d’Eliott, j’ai adoré sa phase ado zéro filtre, un vrai ami pour Macy.

– Je me demandais juste comment ça fonctionnait.

– Comment quoi fonctionnait ?

– Quand tu… (J’esquisse un geste clair qui ne laisse aucun doute sur le contenu de mes pensées.) Les mecs et leur… tu sais. Il lève les sourcils en attendant que je termine ma phrase. Je perçois le moment précis où il comprend ce que je veux dire. Ses pupilles se dilatent si vite que ses yeux semblent noirs.

– Tu es en train de me demander comment les bites fonctionnent ?

Et encore plus l’Eliott adulte qui saisit chaque occasion et profite de chaque moment comme si celui-ci était le dernier. Il va s’offrir – leur- offrir l’occasion de remplir les blancs et d’avancer.

La trame est captivante, on revit les moments avant et après, un chassé-croisé qui permet à la trame d’être en continuelle mouvement. Pas de stagnations, ni de redondance. Une histoire qu’un.e ado et/ou un.e adulte pourrait lire sans modération.

Pour conclure, une très belle histoire d’amour qui ne masque nullement son cachet second chance rempli d’espoir et de douceurs.

#JeRecommande !

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– Je ne suis pas prête pour ça.

– Tu dois te préparer psychologiquement pour me voir ?

– Si je devais me préparer psychologiquement pour voir quelqu’un, ce serait toi.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marie et Jessica pour l’envoi de ce Service-Presse

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Briar University, tome 2 – The risk de Elle Kennedy

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Après, Summer, la petite sœur de l’ancienne star de hockey, place à sa BFF – forcé à tenir ce rôle – : Brenna.

Brenna connait tout du monde du hockey universitaire et de ces joueurs fards, et pour cause elle est la fille de l’entraineur, soit une intouchable ! Mais lorsque Brenna souhaite s’émanciper et obtenir le stage de ses rêves, elle devra pactiser avec la star d’Harvard, Jake Connely qui va se révéler être un adversaire de taille.

Autant j’ai apprécié le précédent opus, autant l’histoire de Brenna était plus que captivante.  Impossible d’abandonner ma lecture en cours de chemin, je devais savoir comment les affaires scolaires-amoureuses-sportive de Brenna allait évoluer, comment tout cela allait se terminer pour nos tourtereaux, car il ne faut pas se leurrer ils jouaient gros tout les deux et pas seulement Brenna qui avait sur ses frêles épaules la réputation de papa et sa futur ascension professionnelle ! Oui, bon OK ! Brenna risquait plus que Jake.

L’histoire se laisse lire et savourer du début à la fin, la trame évolue entre gage-humour-amour et révélation sur la vie personnelle de nos héros.  On retrouve bien entendu toute la bande d’ami.e.s, un petit pincement au coeur pour Mike et une grande attente du côté de Hunter.

Elle, nous offre encore un grand moment sportif, les coups de cross vont dans tous les sens, sans blesser grave mais avec une belle victoire pour nos Roméo-Juliette du hockey universitaire !

Pour conclure, ce spin-Off a encore de beaux jours devant lui, en tout cas une belle suite à venir !

#Jerecommande

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J’essaie de ne pas lever les yeux au ciel.  Quoi, ils sont déjà amis? Je ne sais pas pourquoi, le fait que Jake s’entende avec tout le monde m’agace.  Sans doute parce qu’il m’est difficile de le percevoir comme l’ENNEMI quand il semble aussi sympa.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Jessica pour l’envoi de ce Service-Presse

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Pour me sauver de Kalypso Caldin

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Je l’avoue la couverture ne paie pas de mine et si on n’est pas fan de romance bikeurlisante et bien on passe à côté et on continue son chemin ! Mais je vous arrête tout de suite, n’ayez crainte que cela soit à l’égard de la couverture, je dis ça en tant que cover reader ou sur le possible sujet de la romance, car l’histoire en elle-même en vaut le détour.

Je ne vais pas revenir sur le chapitre  » ne lis jamais les résumés », mais lorsque j’eus ce roman entre les mains, j’avais une grosse crainte car comme dis précédemment, je craque en premier sur la couverture et ici, je n’étais pas du tout emballée mais je me suis prise au jeu de commencer l’histoire et de me faire TO-TA-LE-MENT happer par nos héros et plus particulièrement par Sydney !

Alors qu’elle vient de réaménager chez son père, Ben, Sydney va jeter son dévolu – et ses blagues carambar -, sur Nojan, pas seulement pour le sex-appeal qu’il dégage mais surtout parce que Sydney a vu en Nojan Saïdi un partenaire de jeu redoutable et capable de lui procurer ce qu’elle désire pour se sentir vivre :  de la peine.

La souffrance de Nojan était immense, au point que je la sentais couler dans mes veines. Avoir mal, c’était ma came… mais là, j’étouffais.

WHAT ! WHAT ! WHAT ! Oui, oui, et re-oui, le kiffe « ultime » de Sydney et de ressentir de la douleur ! Ça peut paraître bizarre, mais derrière cette volonté de souffrance – et ses blagues carambar -, se cache une jeune femme meurtrie, blessée, que j’ai eu du plaisir à éplucher tel un oignon.  Contrairement à l’idée de base, sur notre jeune Héro, Nojam est très très trèèèèèèèèèèèèèèèèèssss loin de l’idée que l’on se fait d’un biker, il s’agit simplement d’un motard. Pas de club, quelques tatoo, quelques jeunes amis de fac, Steph et Victor et de beuverie,  Terry.  Nojam va se révéler être un personnage, voir un partenaire à la hauteur du challenge lancé par Sydney.  J’ai apprécié que dès le départ, la relation de Syd et No’ ne soient pas entravé par le sceau du secret, tout est dit, tout est – assez – clair, ce qui rend le jeu plus excitant et permet au personnage de ne pas se cacher l’un de l’autre.  Idem pour ce qui est des drames de la vie qui touchent nos héros, pas de chichis, on ne s’étire pas en longueur.  Outre nos héros, on découvre leur ami.e.s : Violette, la meilleure amie – de force – de Syd, Steph, le dessinateur, Victor, Terry, sans oublier les membres de leurs famille.

Pour un premier roman de l’auteure, je ressors séduite, par sa plume, par son histoire, par la sensibilité et les coups de folie de ses héros.  On reste dans un sujet sensible, sans être en quête de nous arracher quelques larmes.  Il y a une histoire et plus que tout, j’ai eu envie de connaitre le fin mot de l’histoire, car Kalypso maintient le suspense jusqu’au bout.

Pour conclure, malgré ma petite crainte au démarrage, j’ai pris un petit plaisir à Lexington avec Sydney et Nojan… Comme quoi, il ne faut pas – trop – se fier à une couverture !

Le mot de la fin …

Comment l’homme invisible appelle-t-il ses parents ?

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Ça faisait longtemps que je n’avais pas éprouvé une telle émotion, si vive et si pure…

Peut-être que je me trompais, finalement.  Peut-être que la douleur n’était pas le seul sentiment capable de me rappeler que je vivais toujours.

Sydney

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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Until the end de Laura S. Wild

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Ma vie vient de basculer en enfer.

Et la mienne aussi … Je ne sais pas, si j’ai passé un bon moment ou si j’ai passé un moment de lecture simple et sans impact sur ma personne.  Je ne dirais pas que cette lecture a été totalement ennuyeuse, mais s’il s’agit d’une dark romance alors on est côté de la plaque car côté frisson ce n’était pas ça et s’il s’agit d’un romantic-suspense… Why not ! Quelque fut la volonté de Laura sur le sujet de fond de sa trame, je ressors avec cette inconnue et bien des semaines après, je me pose encore la question.

Et pourtant, l’histoire avait les ingrédients d’une dark romance.  Tandis que sa meilleure amie et son petit ami quittent la ville, Mila va se faire enlever par un duo de choc : Ben et Carter.  Ne pouvant se soumettre à accomplir sa mission, jusqu’au bout, soit tuer Mila, Carter va faire de Mila sa femme, sa prisonnière.

Jusque là tout va bien… Ou presque …

Oui presque, car le tout ensemble : la jeune femme kidnappée, le kidnappeur dont on est censé rejeter l’action et qui nous rend un rien gaga et qu’on excuse –> je parle du livre dans la vraie vie ce n’est pas ça, on est bien d’accord ! ne m’a pas mise dans cette condition de rejet, mais plus de questionnement sur le côté bipolaire de Carter et surtout sur le duo bizarre de Kidnappeur qu’on fait tout pour rendre directement sympa, en tout cas Ben, j’ai bien cru à un moment qu’ils allaient tous sortir boire un verre comme si rien ne s’était passé… Sans oublier les petites confessions de famille !

Au fil des pages, j’ai attendu le moment  » OUF », mais il n’est jamais vraiment venu.  J’ai donc poursuivi ma lecture afin de me réconforté sur le ou les commanditaires de l’enlèvement de Mila, sur l’évolution de la relation de Carter et Mila, sur les petits secrets et drame de leurs vie, mais plus du tout pour le côté frisson de la chose.

Tant pis pour moi.

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Je n’ai pas de juste milieu: si je déteste, c’est jusqu’à vouloir tuer, si j’aime, c’est jusqu’à en crever et il n’y a rien entre les deux.  Et Mila … Elle me donne envie de l’aimer et je me déteste pour ça.

Carter

C’est étrange : je ne pense aucunement à m’enfuir.  D’ailleurs, si je m’en allais, où irais-je?  Je n’ai plus d’appartement, plus de famille, et Gaby est sur un autre continent, en Europe.  Si je pars maintenant, à quoi ressemblerait la vie que je retrouverais ?

Mila

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Flore et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Destins troublés de Geneva Lee

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L’amour fait de nous les personnes que nous voudrions être.  Je pensais que si je l’aimais assez, elle reviendrait.  Elle deviendrait alors cette femme que j’ai toujours cru qu’elle pourrait devenir.

Booouuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ce roman m’a touché jusqu’au tréfonds de mes entrailles. Je ne dirais pas que j’ai versé une larme, car j’avais un peu vu le poteau rouge à des kilomètres – certains signes ne mentent pas -.  Mais merdouille, l’histoire de Jude aka M. Arrogant et Faith est juste : TOPISSIME !

Port Townsend.  Alors que Faith a refait sa vie, après des années à lutter contre sa dépendance aux drogues, des séances chez les narco-anonymes pour soulager son mal et ne pas oublier d’ou elle vient. Faith va devoir faire face à une nouvelle drogue plus douce et pourtant mortelle pour la petite vie paisible qu’elle s’est construite : Jude Mercer.

Comme dis précédemment, cette lecture m’a captivé du début à la fin.  Impossible de lâcher ma lecture, le mystère qui entoure l’arrivée de Jude dans la vie de Faith devait être vite comblé.  Au fil des pages, on découvre la vie de Faith, son fils Max, sa collègue délurée, et plus que tout les drames de son passé.

Mon monde est aussi fragile que du verre, de jolis mensonges soufflés en délicates bulles qui couvrent la laideur de mon passé.  La laideur qui m’habite.

Je sais qu’il est le diable et qu’il est venu réclamer son dû.

Je ne serais dire quel personnage m’a le plus troublé : Faith pour ses combats de dépendance, de mère ou de famille ou tout simplement le mystérieux Jude, le parolier à la plume dévastatrice de neurones !  Mon petit coeur de maman a flanché avec/à cause de Max, j’ai eu envie de le border.

Oui, j’ai vu le poteau rose à des kilomètres, mais cela ne m’a nullement empêché de savourer ma lecture et d’y prendre du plaisir jusqu’au bout.  Geneva – dont je n’ai lu qu’un seul livre – revient dans un tout autre registre plus mature, plus fort.  Une histoire sur fond de secret de famille.

Pour conclure … Jetez-vous sur ce roman dès que vous en avez l’occasion, il en vaut le détour !

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Les hommes comme Jude sont dangereux.  Non pas à cause de leurs tatouages ou de leur démarche arrogante mais parce qu’ils pensent que les limites ne servent pas à grand-chose.  Je ne peux pas me permettre de laisser une brèche s’élargir dans les murs que j’ai érigés autour de moi.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marion et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Love in lingerie de Alessandra Torre

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Si vous aimez les relations qui prennent du temps à se construire et qui se retrouve à chaque fois devant une impasse et bien ce roman est fait pour vous !

Ne vous fiez surtout pas à la #cover contrairement à ce qu’elle peut suggérer il n’est nullement question d’un énième Grey ou roman BDSM – raccourci quand tu nous tient !-.  Ce roman est à mille lieu de cet univers, mais il est clair que la lingerie aura une place importante… Ben, quoi on porte tous une culotte donc personne devrait être choqué de cet état de fait!

Mais revenons à la trame.

Pour Kate ce nouveau challenge professionnel est un peu sa dernière chance de briller en tant que styliste-lingerie.  Mais ce que Kate n’avait pas prévu et encore moins Trey, son boss c’était la passion qui allait les habiter au premier regard.  Seul obstacle à la libération de leur passion : la clause contractuelle qui empêche tout employé.e à entretenir une relation intime au risque de se faire virer sur le champ.

En temps normal, je déteste les trio amoureux, mais dans cette histoire on est très loin du trio amoureux bien que le feu brûle – la petite culotte – entre nos héros.  Ils restent professionnels et surtout correct à l’égard de leur compagnon respectif.

Il était agréable de voir la relation de Kate et Trey évoluer au fil des pages, que cela soit d’un point de vue professionnel ou privé.  Kate est personnage plaisant, elle va devoir se battre avec ses sentiments et mener de front sa carrière qui ne tient qu’à un fil de dentelle ! Trey pour sa part, démarre sur les chapeaux de roues, je ne savais jamais sur quel pied danser avec lui, un moment il est tendre, l’instant d’après il est le bon pote, au paragraphe suivant l’amour fou de désir, un mélange de personnalité, j’ai crains le bipolaire mais heureusement pour moi, il n’a pas été jusque là.

Pour ce qui est de la trame, l’histoire se laisse lire et se construit au fil des pages, je ne lui ai trouvé aucune lourdeur, malgré ma petite crainte au début de ma lecture. La plume d’Alessandra m’a une fois de plus captivé !

Pour conclure, une petite romance mi-amor mi-friendly bien construite avec des personnages matures et juste ce qu’il faut de … dentelle ^^

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C’est plus fort que moi. Ils sont si différents. Craig est si bon avec moi. Il fait tout ce qu’il peut pour être le meilleur des compagnons, il sera un père merveilleux et il est quelqu’un de tellement bien au fond. Et puis, il y a Trey, qui est comme une parfaite
licorne sexy – bien sûr il n’a pas de corne qui sort de son front ni rien de ce genre-là – mais il est tellement… Je ferme les yeux pour essayer de trouver le mot exact, celui qui incarne à quel point il est spécial et unique. À quel point il embellit ma journée avec un simple sourire. Et cette façon qu’il a, comme en ce moment, de me regarder, d’un air si gentil, si doux, comme si…

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marie pour l’envoi de ce Service-Presse

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