WAOUW ! Et bien je me serais attendue à énormément de choses mais pas à autant d’action, de révélations et un saut de la troisième corde ou d’un avion sans parachute si vous préférez !
Dans cet opus on retrouve Juliette, Warner et leurs compagnons de route. Mais l’histoire est essentiellement tournée sur le personnage de Nazeera – et Kenji -, cette jeune demoiselle qui rejoins la jeune élite avec une hotte rempli de révélations ce qui permettra à la trame de prendre un nouveau virage.
J’ai une fois de plus été transportée par l’univers de Tahereh. Les personnages ont encore pris en maturité. Je m’attache un peu plus à Warner, un personnage qui éclot de plus en plus. Juliette est toujours aussi habile et aguerrie. Kenji le petit comique nous dévoile une nouvelle facette. J’avais quelques appréhension à l’égard de Nazeera et bien qu’ayant aperçu son personnage, je garde cette sensation que tout n’a pas été dit… Oui grosse parano !
Comme écrit précédemment, la trame est riche en péripéties, à chaque chapitre on en apprend un peu plus sur le Rétablissement et ses actions, et la contre-attaque de nos héros.
Enfin, très bon moment de lecture que j’ai savouré du début à la fin !
Vivement la suite ^^
– Je sais que, pour vous, les enfants des Commandants suprêmes sont un ramassis de psychopathes sans foi ni loi, heureux d’être les robots militaires que leurs parents ont voulu qu’ils soient, mais rien n’est jamais aussi simple. Nos parents sont des fous dangereux déterminés à dominer le monde ; ça, c’est vrai. Mais ce que personne ne semble comprendre, c’est que nos parents ont choisi d’être des fous dangereux. Nous, en revanche, nous avons été contraints de l’être. Et ce n’est pas parce que nous avons été entraînés à être des mercenaires que ça nous plaît. Aucun d’entre nous n’a choisi sa vie. Aucun de nous n’a été initié de gaieté de cœur à la torture avant même de savoir conduire. Et il n’est pas aberrant de penser que, parfois, même les individus les plus abjects peuvent chercher une issue à leur propre noirceur.
Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Camille pour l’envoi de ce Service-Presse
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