Until the end de Laura S. Wild

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Ma vie vient de basculer en enfer.

Et la mienne aussi … Je ne sais pas, si j’ai passé un bon moment ou si j’ai passé un moment de lecture simple et sans impact sur ma personne.  Je ne dirais pas que cette lecture a été totalement ennuyeuse, mais s’il s’agit d’une dark romance alors on est côté de la plaque car côté frisson ce n’était pas ça et s’il s’agit d’un romantic-suspense… Why not ! Quelque fut la volonté de Laura sur le sujet de fond de sa trame, je ressors avec cette inconnue et bien des semaines après, je me pose encore la question.

Et pourtant, l’histoire avait les ingrédients d’une dark romance.  Tandis que sa meilleure amie et son petit ami quittent la ville, Mila va se faire enlever par un duo de choc : Ben et Carter.  Ne pouvant se soumettre à accomplir sa mission, jusqu’au bout, soit tuer Mila, Carter va faire de Mila sa femme, sa prisonnière.

Jusque là tout va bien… Ou presque …

Oui presque, car le tout ensemble : la jeune femme kidnappée, le kidnappeur dont on est censé rejeter l’action et qui nous rend un rien gaga et qu’on excuse –> je parle du livre dans la vraie vie ce n’est pas ça, on est bien d’accord ! ne m’a pas mise dans cette condition de rejet, mais plus de questionnement sur le côté bipolaire de Carter et surtout sur le duo bizarre de Kidnappeur qu’on fait tout pour rendre directement sympa, en tout cas Ben, j’ai bien cru à un moment qu’ils allaient tous sortir boire un verre comme si rien ne s’était passé… Sans oublier les petites confessions de famille !

Au fil des pages, j’ai attendu le moment  » OUF », mais il n’est jamais vraiment venu.  J’ai donc poursuivi ma lecture afin de me réconforté sur le ou les commanditaires de l’enlèvement de Mila, sur l’évolution de la relation de Carter et Mila, sur les petits secrets et drame de leurs vie, mais plus du tout pour le côté frisson de la chose.

Tant pis pour moi.

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Je n’ai pas de juste milieu: si je déteste, c’est jusqu’à vouloir tuer, si j’aime, c’est jusqu’à en crever et il n’y a rien entre les deux.  Et Mila … Elle me donne envie de l’aimer et je me déteste pour ça.

Carter

C’est étrange : je ne pense aucunement à m’enfuir.  D’ailleurs, si je m’en allais, où irais-je?  Je n’ai plus d’appartement, plus de famille, et Gaby est sur un autre continent, en Europe.  Si je pars maintenant, à quoi ressemblerait la vie que je retrouverais ?

Mila

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Flore et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Dollars, tome 3 – Hundreds de Pepper Winters

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Notre histoire, avant même qu’elle ait commencé, était vouée à un tragique échec.

J’avais énormément de crainte avant de me lancer dans cette lecture, et mon instinct a dit vrai. J’ai trouvé ce « end », très long, que cela soit dans la romance ou dans l’histoire à proprement parlé.

Même si Pimlico n’est plus la victime de Maitre A, elle se découvre auprès de son nouveau geôlier Elder. Bien qu’ayant une certaine liberté de mouvement et de pensée, Pim ne peut se faire à l’idée d’obtenir la totale maîtrise de sa vie qu’à une condition : prendre de force ce qui appartient à autrui. En bref, je n’ai pas compris comment Elder a pu demander à une ancienne victime de devenir elle-même une mauvaise fille ! Détrousser autrui, ne va pas l’aider à récupérer ce qu’elle a perdu, encore moins l’aider à panser ses blessures. Donc autant vous dire que les personnages qui étaient au bord du  » je perds l’attention de la lectrice » m’ont totalement perdu, mais j’ai tenu le coup car je voulais vraiment voir comment Pepper allait redonner vie à la partie romance de son histoire. Et une fois encore, tout cela a pris du temps, vraiment.

J’ai donc profité de ces petits moments pour en apprendre un peu plus sur Elder, sa vie, son passé et bizarrement tout cela ne m’a pas ému. J’ai eu cette sensation de vouloir donner une excuse à Elder sur ses agissements. Je n’ai même pas eu envie de secouer Pim, qui ne profitait pas de la moindre faille pour s’enfuir, nous étions les nouvelles captives en quête du « end ».

Même s’il était clair que je ne retrouverais pas le plaisir du premier opus, j’étais en quête de l’extase, d’une vraie évolution et celle-ci n’est pas venue au point nommé, j’étais déjà à mille lieux de ma lecture.  Beaucoup trop loin pour revenir et profiter du moment, donc j’ai attendu la fin et suis restée avec une sensation de non-fin, d’un manque pas du tout comblé.

En bref, saga qui avait très bien commencé mais qui s’est trop étirée et m’a fait dévier de ma lecture et de mon plaisir.

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Je ne pouvais pas m’empêcher de me dire, chaque fois que je le regardais, que sous ces apparences d’homme d’affaires toujours superbement habillé de son jean sans pli et son impeccable tee-shirt noir se cachait un homme rejeté par ceux qu’il aimait.

 

Les non-dits, les secrets, les concessions – ce redoutable besoin qui échappait inexorablement à notre contrôle : nous étions aux antipodes l’un de l’autre sur ces questions. Lui ne pouvait s’ouvrir à moi par peur de sombrer dans la folie, tandis que je ne pouvais m’ouvrir à lui car je ne savais tout simplement pas comment être cette femme désireuse de sentir les caresses d’un homme sans se mettre automatiquement à hurler et à mourir d’angoisse.

Pimlico

Ils voulaient ma mort pour me punir d’avoir quitté leur clan et je voulais leur destruction pour avoir assassiné deux personnes que j’aimais. Cette traque effrénée se terminerait avec leur mort ou la mienne – selon qui trouverait l’autre en premier.

Elder

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Stephanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Alexa Hudson (12)

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Dollars, tome 2 – Dollars de Pepper Winters

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Je n’avais pas eu à mourir pour me libérer de lui.  C’était lui qui était mort.

Autant j’avais apprécié ma lecture du 1er opus, autant celui-ci m’a laissé une sensation de  » mais encore ».

Plus de deux ans après sa prise d’otage, Pimlico qui se pensait libre, va vite découvrir que son ange sauveur, va lui offrir le confort d’une nouvelle cage dorée.  A l’inverse des sévices, subi chez Maître A, les agissements de Elder vont causer trouble et confusion à Pim et donner naissance à de nouveaux sentiments.

Dans ce second opus, on suit directement la fin de la captivité de Pimlico.  Sa guérison, sa quête d’identité et surtout sa nouvelle cohabitation avec M. Prest à bord du fantôme.

Bien qu’intéressante et importante pour la naissance de la partie romance.  J’ai trouvé ce second opus un peu long.  Il y a un rien de suspense, une confusion de sentiment plus que légitime du coté de Pim, du voyage, un apprentissage et un nouveau dressage.  Mais je n’ai pas eu le boum tant attendu.  On en apprend un peu plus sur Elder, sa vie, son passé et sur l’homme.

Malgré quelques longueurs et le manque du badaboum, le roman se laisse lire … Hâte de connaitre le mot de la fin !

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Malgré moi, je m’étais intérressé à elle, alors que je m’étais bien juré de ne plus jamais m’attacher à personne.  C’était trop douloureux.  Mais Pimlico… elle n’avais connu qu’une vie merdique, mais elle n’en avait pourtant pas moins foi en un radieux avenir de liberté.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Stéphanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Alexa Hudson (12)

Dollars, tome 1 – Pennies de Pepper Winters

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J’avais envie de hurler.  De crier.  De parler.  De lui montrer que j’étais humaine et qu’il ne pouvait pas me commander.

Bon … Bon … Boonnnnnnnnnnnnnnnn ! Where’s the romance ? Non, je ne veux pas être défaitiste, mais de vous à moi, ce roman à beaucoup manqué de romance : il était VRAIMENT dark ! J’ai été quelques peu mal à l’aise face au drame de Pimlico.  Cette jeune demoiselle, kidnappée lors d’une soirée de famille, vendue à Maître A aka Alrik Asbjörn et qui va subir durant 2 longues années les sévices de son tortionnaire.  Jusqu’au jour, ou Elder, va pénétrer dans l’antre du diable.

On entre directement dans le vif du sujet,  le kidnapping laisse vite la place au drame de Pimlico au travers de sa correspondance avec Personne.  Elle décrit en partie son drame au sein du manoir de Maître A.  Au fil des pages, on ressent la dégradation des sévices, le courage de Pimlico.  Il m’est arrivé de lire une lettre pour Personne en diagonale.  Même s’il s’agit d’une fiction, je n’ai pas pu m’empêcher de me dire que des femmes dans le monde ont réellement vécu cela.  Cela m’a mise un mal à l’aise.

Bien que mettant en scène trois personnages, soit Pimlico, Elder et Maître A.  L’histoire est principalement racontée par Pimlico.  Je ne sais que penser d’Elder.  N’ayant pas vu le côté romance, mais plus soumission – Maître A – et prépa’ soumission – Elder -, je me réserve un droit d’avis sur celui-ci.

Pepper, nous présente un univers très sombre, qui m’a vraiment mise mal à l’aise, plu et qui mérite d’être développé.  Je ne ressors pas de cette lecture amoureuse des personnages.  En temps normal, le méchant, exécrable se fait – directement – apprécier, ce qui met le lecteur dans une situation inconvenante. Je n’ai pas du tout ressenti cette sensation de gêne durant ma lecture, je l’ai même attendu.  Donc, j’espère voir pondre cette phase, et qui devra par la même occasion faire naître le côté  » romance » de l’histoire.

Enfin, roman plus sombre que romanesque, qui mérite sa suite !

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Il m’avait arraché plus de réponses sans paroles que maître A en deux ans.  Une compréhension mutuelle nous reliait, une alchimie réunissait nos similitudes.  Que discernions-nous donc l’un chez l’autre ? D’où me venait le sentiment de le connaitre…

Pimlico

Ce fichu lien entre nous s’affirma davantage.  Elle cessa de respirer, me scruta. Le sort qu’elle m’avait jeté se fit plus brûlant, plus intense, plus puissant.

Elder

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Stephanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Companyof Killers, tome 1 – A la recherche de Sarai de J.A Redmerski

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Je suis prise au piège dans les bras d’un tueur impitoyable, mais c’est là que je veux être.

En un mot : Une tuerie … En quatre : Ou est la suite ? Très belle surprise, une trame dramatique, sur fond de dark romance : Sarai et Victor m’ont captivé !

9 ans.  9 ans que Sarai, vit enfermé dans la tour dorée du trafiquant Javier, jusqu’au jour ou un américain, va venir s’entretenir avec celui-ci.  Sarai, y verra une porte de sortie, sa porte de sortie vers la liberté, et (re)trouver sa vie d’avant.  Ce que Sarai, n’avait pas imaginé c’est que son sauveur n’a rien du prince charmant et a tout l’attirail du parfait tueur en série.

Dès le départ, on entre dans le vif du sujet.  Sarai était une enfant, lorsqu’elle fut vendue au trafiquant, Javier.  Elle a très vite compris que pour survivre, elle devait se plier aux exigences de son bourreau.  Malgré sa captivité, Sarai ne perdra jamais de vue son objectif : fuir.  Même si elle se doute que l’Américain, n’est pas tendre – de part ses liens avec Javier -, elle ne pourra passer à côté de sa chance et va vite découvrir que son nouvel allié, est un tueur à gage.

Victor.  Victor. Victor.  Ce personnage a directement capté mon attention.  Son côté sombre, méchant, taciturne qui n’en touche pas une et pourtant, me l’ont rendu séduisant.  Oui, oui il n’y a que dans les films et les dark romance qu’on est atteinte du syndrome de Stockholm.  Mais j’assume complètement mon envoûtement pour Victor.  Sarai est une femme, non pas une jeune femme ou fille, car elle a grandi trop vite.  Elle est forte, elle a du caractère, du bagou et même dans la misère de sa vie et des obstacles elle arrive à garder la tête hors de l’eau et à trouver ses priorités.  Je ne lui ai pas trouvé un seul défaut, j’ai craint pour elle, mais à aucun moment, je n’ai eu de doutes sur sa force physique et mentale de tueuse.

Je ne vais pas trop revenir sur la trame, J.A nous offre une belle histoire sur fond de dark romance.  L’évolution des personnages est très bien faite.  Un vrai mélange de plaisir, de stress, d’addiction et de AGAIN !

Vivement le second opus et découvrir … Izabel !

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Je n’aurais jamais cru me trouver un jour dans la position de ces pauvres filles que l’on voit dans les films d’horreur, celles qui se réfugient en courant dans une maison où les attend un plus grand danger que celui qu’elles fuient, ou qui trébuchent en s’enfuyant dans les bois.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et NetGalleyFrance pour l’envoi de ce Service-Presse

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Les Anges, tome 3 – Guérir de Tina Ayme

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On n’avance.  Pas assez vite à mon goût, mais on avance quand même dans la relation de Zac et Mia.

Dans ce 3eme opus on avance – encore ce mot – d’un pas dans la relation de Zac et Mia.  Le personnage taciturne et grognon de Zac laisse la place à un jeune homme AMOUREUUXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX ! Zac a brisé sa carapace ou laissé tomber son blouson de cuir pour les beaux yeux de sa belle, mon amour * badaboum *.  Du côté de Mia ça prend un peu plus de temps.  Mes sentiments à son égard ont navigué à tribord ou bâbord : soit je comprenais ces réticences face au trop plein d’amour de Zac ou soit je trouvais qu’elle tirait trop en longueur.  J’étais aussi confuse qu’elle.  Seul gros point positive : Lorsque Mia marque son territoire, il ne faut pas trop la chercher !!!!

Même si l’histoire principalement autour de nos héros, les Anges sont encore de la partie, Ashton et MJ seront les sous-star du roman.  Je ne serais dire lequel des deux aura plus capté mon attention.  Miguel a été le petit absent.  Là sans être là.  Les amiEs sont mise en avant.  Sans oublier l’Inconnu.

Comme dis précédemment l’histoire tourne principalement autour de l’histoire naissante de nos jeunes héros.  Un pas en avant, dix en arrière.  Heureusement le texte ne souffre pas de discours interminables, ou tirés en longueur.  Car l’un et l’autre ne font pas bon ménage ! Même si dans l’ensemble la trame se laisse lire, j’ai regretté qu’il ait fallu attendre le dernier quart du roman pour sortir de cette monotonie et avoir droit à un mini électrochoc.  Maudire la terre entière et prier le dieu du livre pour avancer la sortie du 4ème opus.

Tina nous offre une suite à la hauteur du second opus, un petit relais qui doit/mérite de voir son END !!! Je n’en peux plus de tout ces secrets/mystères !

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Je ne veux pas que tu sois comme elles.  Je sais que tu ne leur ressembles pas.  Tu es unique.  Je sais de quoi ça avait l’air Mia, mais je te jure que ce n’est pas ce que tu crois.  Je te désire, toi, seulement et uniquement toi.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Magali pour l’envoi de ce Service-Presse

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Devil’s Night, tome 2 – Dark Desire de Penelope Douglas

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Est-ce que je suis trop exigeante ? Est-ce que j’en demande trop dans mes lectures ? Je ne serais le dire, mais cette suite n’a pas totalement répondu à mes attentes.  Après avoir vibrer avec Michael et Erika – et Damon-, la story de Kai et Banks m’a laissé quelque peu sur ma faim.  Je n’ai pas eu l’impression de lire une dark romance.  Pas que je suis une experte, mais lorsque j’entends dark romance, les points de critères sont essentiellement de me faire aimer l’inacceptable et pour le coup, j’ai juste eu l’impression de lire un simple NA avec une petite note Roméo et Juliette.

Après avoir mis un terme – à temps – aux agissements de Damon, ces amis n’ont qu’une idée en tête le retrouver et le mettre hors d’état de nuire.  Mais pour cela, ils vont devoir faire alliance avec Banks , qui semble très proche de Damon.

Dans ce second opus, on suit principalement l’enquête autour de Damon et la romance (im)possible entre K et B.  On retrouve bien-sûr ces amis, avec une petite pointe au cœur pour Will.  La première partie de l’histoire est raconté au passé/présent.  Ces moments flash-back, nous permettent d’avoir une base de travail dans la relation des héros du jour.

On en apprend un peu plus sur Kai, ses rapports familiaux, son travail, sa vie.  En bref, lui.  Autant dans le T1 son personnage m’avait bien titillé, aussi ici sans plus. Il m’a manqué la petite étincelle.  A l’inverse, le personnage de Banks m’a directement captivé. Cette jeune demoiselle qui évolue dans un univers de mâle – dominant – et qui les tiens tous par le bout du nez.  Assez intriguant.

En bref, une histoire quelque fois intriguante, captivante, mais pas suffisante pour faire grimper ma jauge de plaisir interdit.

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Toute trace de patience dans sa voix  avait disparu.  Je reculai jusque dans un coin de la tombe, en scrutant l’espace au-dessus de moi avec angoisse.

Au secours, criai-je tandis que mes yeux se remplissaient de larmes.  S’il vous plaît…  Incapable de me contrôler davantage, je me mis à pleurer , ma respiration entrecoupée par mes sanglots.  J’explorai le coffre à tâtons pour trouver quelque chose que je pourrais utiliser comme une arme.  Un outil, un cric, n’importe quoi.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Mélanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Monsters in the dark, tome 1 – Larmes de misère de Pepper Winters

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C’EST DE LA BOMBE !!!!! Alors je vous rassure, j’ai déjà lu plus hardcore pour mes neurones dans le genre dark romance.  Mais les personnages et surtout le cas atypique de esclave – Tess pour les intimes -, était intéressant, captivant et le sujet si intelligemment posé que j’ai plus cogité sur cela que sur sa captivité en elle-même. Sans oublier la petite parano que j’ai crée dès les premiers actes posés – sur l’enlèvement de celle-ci – .

Malgré ce qu’elle considère comme un handicape dans sa vie sexuelle, Tess, est une jeune fille épanouie et amoureuse de Brax.  Afin de fêter comme il se doit leur rencontre, celui-ci l’emmène sur les plages du Mexique.  Après une petite virée, nos amoureux vont se désaltérer, mais tout ne se passe pas comme prévue : Tess est enlevée, vendue et donnée en cadeau à Q.  Tess est une soumise par nature, mais ce n’est pas une raison pour se laisser soumettre par son nouveau Maître, elle va se battre et tout faire pour retrouver sa liberté.

Comme dis précédemment, j’ai déjà lu des romans dark, tels Penelope Douglas, Anna Zaïres, qui m’ont chamboulés du début à la fin.  Non, pas que Pepper a loupé le coche, mais j’ai commencé cette lecture avec une sensation de déjà-lu et donc je n’étais plus très attentive à l’histoire en elle-même, mais plus dans l’attente de la chute et de me dire  » je le savais ».  Femme de peu de fois, que je suis !!! Que nenni, Pepper a su remonter la pente avec ce petit sujet sous-jacent : soumission et captivité.  Autant au début j’ai eu l’impression que cette facette de l’héroïne était mise en avant pour excuser le fait qu’elle allait s’emboiter avec son bourreau, dans son Manoir français.  Mais on se rend compte que le sujet est tellement bien abordé, que celui-ci coupe la chique aux préjugés : Ce n’est pas parce que je suis une soumise, que j’accepte de me faire enlever et utiliser comme bon leur/lui semble.  Ne pas oublier que le vrai maitre dans ce type de relation est la soumise et esclave, malgré ses penchants et sa captivité l’a bien fait ressentir.  Une femme est née durant cette captivité, et la dualité qui se jouait en elle-même était encore une fois très bien représentée.  Pour cela, je dis chapeau Win’ – on peut se tutoyer maintenant – .

Q., Q., Q., Qqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqqq ! Bourreau atypique.  Je suis directement tombée sur le charme de ce personnage, et non pas directement par son fait, mais par celui de sa gouvernante.  Une vrai tentation avant même de le connaitre, je portais déjà haut l’étendard de son fort, oups Manoir.

Malgré un démarrage un peu confus, Pepper a su me donner envie, me captiver, me donner des frissons, de bonnes grosses pulsations cardiaques, de la rage, du plaisir.  Dommage que le roman se lisse si vite, il lui manquait quelques chapitres pour que je puisse exulter comme il le fallait !!! Gourmande que je suis !!!!

Vivement juillet pour connaitre la suite des aventures de Q et Tess.

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Bon

 

Je tiens encore à remercier l’Editeur et NetGalleyFrance pour l’envoi de ce Service-Presse

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Les Anges, tome 1 – Oublier de Tina Ayme

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Avé à ma mémoire de poisson rouge, car oui j’avais déjà lu ce 1er opus lors d’une pleine lune.  Mais après avoir lu  » Kill me », je vous avouerais que j’avais quelques craintes quant à cette lecture.  Serait-elle toujours aussi bien ou bien mon 1er test Tina aura laissé des marques plus grave sur mon mind !?

Et bien, je dois dire que mon plaisir n’aura pas pris une ride. Oui, oui je ne me souvenais de rien.  Je l’avoue et donc j’ai pu (re)découvrir l’aventure de Zac et Mia.

Suite au drame qui a chamboulé sa petite vie, – ainsi que celles de sa mère et de sa sœur – Mia/Amy décide de se faire oublier sur l’île de son enfance.  Ne pouvant plus supporter la présence d’un homme à ses côtés, elle va élire domicile dans la maison du lac.  Ce que Mia n’avait pas prévu, c’est que cet aménagement allait faire d’elle, la cible des Anges, ce groupe de jeunes hommes, mi-ange mi-démon, avec à leur tête le très beau Zac.

Je vais vous épargner le refrain  » Vous devez AB-SO-LU-MENT lire cette série, car … Non, en faite il n’y a pas de vraiment de raison ».  Ce premier opus était tellement prenant que je me suis demandée si j’allais réussir à survivre à la suite. Et pourtant il n’y avait rien de très dure, car j’ai déjà lu plus dur d’un point de vue psychologique.  Mais le tout : ambiance, personnages, addiction entre les héros, le sale caractère de l’héroïne et son côté j’assume mon attirance malgré mon passé.  Bref : C’était top  du début à la fin.  Non, la fin ce n’était pas TOP du tout !!!

Les personnages.  J’ai directement eu un petit flash pour Zac, mais mais car il y a un mais ce n’est pas son personnage qui m’a titillé dans le groupe des Anges, mais , accessoirement son collègue au bar du coin.  Certes le petit secret autour du passé familial de Zac, a retenu mon attention mais j’attends encore de voir.  Mia/Amy bon personnage, je ne dirais pas la meilleure, mais son sale caractère ne m’a donné la migraine bien au contraire.  APrès avoir été le souffre douleur d’un tiers, il était agréable de la voir sortir ces griffes/crocs.  On  découvre aussi les autres membres des Anges et leurs amis/connaissances.

La trame se laisse lire, je n’ai pas trop ressenti de redondance, et le secret lié à la maison du lac et de ses anciens propriétaires ont permis à la trame de ne pas rester figée.  Donc affaire à suivre.

Enfin, très très bon démarrage sur l’Island et vivement le second opus, car l’opus s’arrête trop brusquement.  Je vais prendre mon mal en patience …

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Les humiliations publiques, le harcèlement, les injures et les menaces, les coups bas et dans le dos, même les attaques physiques, je les ai déjà pris avant de te rencontrer.  Alors, ne crois pas que tu me fais peur car rien en m’effraye.  Dis-toi une chose, je te rendrai tout, coup pour coup, chaque fois que tu chercheras à m’atteindre. Sans état d’âme.  Tu es cruel, mais je peux l’être aussi.

 

Je tiens encore à remercier l’Editeur et plus particulièrement Célia et Magali pour l’envoi de ce Service-Presse

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Sinners of Saint, tome 1 – Vicious de L.J Shen

Vicious : Pour Noel, découvrez la Dark Romance intense et interdite (&H) par [Shen, L.J.]

Informations :

  • Editeur : Harlequin France
  • Collection : &H
  • Nombre de pages : 420
  • Date de publication livre : 2 novembre 2017
  • Date de publication ebook : 2 novembre 2017
  • Genre : Romance contemporaine, Dark Romance
  • Prix : 9.99 – 14.90€

Résumé :

Il est le pire qui pourrait lui arriver… ou le meilleur

Vicious. Le nom qu’il s’est choisi parle de lui-même. C’est un homme froid, cruel… et immensément riche. Ce qui veut dire qu’il a le monde à ses pieds. Millie ne fera plus jamais l’erreur qu’elle a commise dix ans plus tôt, quand elle a cru qu’elle pouvait se mesurer à lui, répondre à ses provocations, lui rendre coup pour coup. Ils n’étaient que deux adolescents, et pourtant il a détruit sa vie, l’a forcée à l’exil, loin de sa famille et de tout ce qu’elle connaissait. Alors, le soir où il surgit dans le bar de Manhattan où elle travaille à présent, adulte, plus beau et plus… dangereux que jamais, Millie sait qu’il n’y a qu’une solution  : fuir. Mais elle ne se fait pas d’illusions, si Vicious est venu la chercher, rien ne l’arrêtera. Une menace autant qu’une promesse…

Mon avis

Avant même d’entamer ma lecture j’étais conquise par celle-ci.  Une couverture attrayante avec un beau gossse au regard sevère, un corps bien fait et qui n’en montre pas trop… En bref, j’étais sûr de passer un excellent moment avec le Vicieux, Vicious.  Mais bizarrement, bizarrement ce n’est pas son personnage qui aura totalement attiré mon attention, mais celui de Dean, son frère de coeur et BFF.

Fraichement débarqué avec sa famille au Manoir des Spencer, Millie va au détour d’un couloir rencontrer le maitre des lieux : Baron Spencer aka Vicious.  Ce jeune étudiant, va arriver au bout de quelques mois à faire de Millie son souffre douleur, mais l’apogée de cette torture va se solder par une sommation de quitter le Manoir et de ne plus jamais revenir en ville.  10 ans après cet accrochage, les chemins de Millie et Vicious vont se retrouver, mais cette fois-ci, Vic ne va pas laisser passer sa chance avec la belle, Emilie LeBlanc.

Au risque de me prendre quelques foudres de la part des lectrices, je n’ai pas spécialement trouvé l’histoire dark.  Oui, elle est dur, ce qu’a fait Vicious à Millie est dégeulasse, la priver de sa famille juste parce qu’il n’assume pas ses sentiments, pire la faire quitter son mec car sa jalousie le ronge.  C’est petit ! Outre, cela j’ai plus eu la sensation de découvrir des jeunes torturés, entre l’enfance de Baron – qui soit dit en passant a fait rager la maman en moi – et le parcours de Millie.  J’ai eu un gros pincement au coeur.  Alors si on considère que la partie dark romance est liée au fait qu’il faut être vraiment fou pour retourner dans les bras de son tortionnaire.  Bon ! OK, si vous le souhaitez mais de nouveau pour moi, cette partie du challenge n’a pas été totalement réussi.  Je n’ai pas vibré, mes neurones ne se sont pas torturés, je n’ai pas bataillé avec ma conscience.  Rien de tout cela.  J’étais plus dans la rage qu’autre chose.

Les personnages sont tous très intérréssants, et ils méritent amplement d’être connus.  Entre les frères de coeur de Vicious et amis d’enfance, les Four Hot Heroes: Jaime, Trent et Dean.  Ils auront chacun une petite part d’importance dans l’histoire, mais celui qui aura été l’ombre dans la relation de Vic et Millie est mon personnage coup de coeur : Dean.  J’ai directement accroché à celui-ci, et j’espère que le prochain opus lui sera consacré.  Du côté de Millie, on découvre sa jeune soeur Rosie.

Comme dis précédemment, je n’ai pas spécialement trouvé que la trame était dark, mais plus dans le drama familial.  On découvre assez vite les projets de Vic à l’encontre de ceux qui lui ont fait du mal.  J’ai eu envie de l’accompagner dans son combat.  Par ailleurs, il était interréssant de voir tout ce que l’être humain peut ou pourrait accomplir par Amour.  Je n’ai pas trouvé que la soumission de Millie face à ses sentiments soit ridicule, bien au contraire.  Elle reste forte, digne et assume pleinement d’aimer son tortionnaire de coeur.

L.J, nous offre un bon démarrage, une belle histoire, juste ce qu’il faut d’addiction, de plaisir, d’émotion, un petit accrochage en cours de chemin.  Mais, cela ne m’empêchera pas de lire la suite des aventures des Sinners … !

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Je tiens encore à remercier l’Editeur et plus particulièrement Mélanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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