Agents et associés, tome 3 – Profonde connexion de Layla Reyne

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« Partenaires, pour toujours. »

Cette série, je l’aime de plus en plus ! A chaque tome, je me dis qu’on ne peut pas faire mieux et ce dernier acte de la chasse à l’homme a été rocambolesque !

Il est clair que si vous n’avez pas lu les précédents tomes, vous risquez malheureusement un peu de spoiles.  Je ne vais pas insister sur le caractère criminel de l’oubli (in)volontaire d’ajouter cette série à votre PAL… Mais de grâce, si ce n’est déjà fait …. Faites-le !

Alors qu’ils poursuivent leur quête d’arrestation, les agents Irish et Whiskey vont devoir mettre leur enquête principale sur pause, afin de permettre à Aidan d’intégrer Pearl, une agence de courtier.  Ce qui ne devait être qu’une simple mission va vite ramener le duo d’agents vers leur cible principal.

J’ai eu du plaisir à retrouver Aidan et Jamie.  Je ne serais dire qui a été la vraie star de cet opus, chacun à leur niveau ils ont su me donner du piquant, du suspense et du plaisir, sans oublier l’impact qu’a eu ces enquêtes-relations sur leur personnalité.

Cet opus, marque un tournant dans la vie de nos agents : ça passe ou ça casse !  Que cela soit pour Jamie et Aidan, mais également leurs alliés de la première heure qui vont devoir jouer carte sur table, des secrets vont être dévoilés, les relations professionnelles et sentimentales de nos héros seront remises en jeu, de nouvelles personnalités vont se faire jour.  J’ai eu l’impression de tenir une bombe à retardement entre mes mains, à chaque passage, je craignais le pire.  L’angoisse m’a habité du début à la fin,  Layla a su captiver mon attention et n’a absolument rien lâcher, même cligner des yeux était vu comme un crime !!!

Enfin, un duo d’agents captivants, une enquête riche en rebondissement, le tout saupoudré d’une belle romance M/M qui une fois de plus a m’a rendu totalement addict’ !

#JeRecommande !

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Elodie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Espace réservé au texte (4)Chronique(12)

Relations publiques, rapports privés, tome 2 – Mon envie et folie de Tawna Feske

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Place au second opus avec Myriam Ashley et Jason Sanders.

Tandis qu’Holly file le parfait amour avec Ben, Myriam et elle vont devoir retravailler l’image de leur nouveau client, Urban trax, spécialisé dans le matériel de sport.  Forte de son projet, Myriam est très loin de se douter que le nouveau PDG qu’elle va devoir conquérir n’est autre que son nouveau voisin hipster, Jason Sanders qui lui a brûlé quelques neurones.

Étant encore dans le bain de ma précédente lecture, je suis rentrée directement dans la romance de J&M, qui soit dis en passant commence par une présentation intégrale de Jason dans son plus bel appareil – merci Phuzzie -.

Tout comme Holly, Myriam va devoir jongler entre relation professionnelle et privé avec son beau voisin, qui endosse pour la première fois le rôle de PDG et qui n’a aucun bagage sur le sujet.  J’ai directement accroché au personnage de Jason, outre sa barbe, il est marrant, aimant et plus que tout il est le grand frère idéal pour sa soeur, Ellie et le tonton-papa idéal pour son neveu, Henry.  J’étais avide de découvrir le personnage de Myriam, découvrir qui se cachait derrière ce rôle de femme d’affaire.  Et je n’ai pas été déçue, bien au contraire.  On retrouve bien entendu Holly et on prend des nouvelles de Ben.

Ma lecture fut fort brève, le roman a été lu en trois heure ! Oui, un vrai défilé de pages et un immense plaisir.  Hâte de découvrir les nouveaux personnages, car bien que m’attendant à découvrir celui de Myriam, le troisième opus sera une totale surprise… Même si j’ai ma petite idée sur l’héroïne.

Pour conclure, une romance-profesionnelle fort plaisante, avec des personnages attachants qui n’ont pas peur de faire un peu de spéléologie !

#Alire

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– Je ne sais pas ce qu’est la spéléologie, mais à moins qu’il ne s’agisse d’un cocktail, d’une position sexuelle ou d’un créateur de mode, je ne suis pas intéressée.

Il pencha la tête sur le côté.

– Donc vous seriez intéressé si la spéléologie était un acte sexuel ?

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Élodie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Chronique(11)

Hell’s Horsemen, tome 1 à 4 de Madeline Sheehan

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J’avais cinq ans quand j’ai rencontré Deuce.  Il en avait vingt-trois et c’était le jour des visites à Rikers Island.

Je pourrais lire un millier d’histoire de bikers, avoir des coups de chaud mais rien, non absolument rien – pour le moment – ne détrône les HH.  J’avais commencé cette histoire en 2015 pour le côté nouvelle sous collection de l’Éditeur, il nous promettait du piquant et oui, cela a bien piqué. J’en redemandais mais je redemandais surtout les HH ! Ces relectures m’ont fait du bien et à juste titre, j’ai une mémoire de poisson rouge et donc j’avais oublié le fond de chaque histoire, je m’en souvenais dans les grandes lignes mais quel plaisir de revivre les histoires à fond !!

Dans le premier opus on découvre les héros , je dirais plus les premiers héros de la série, ceux qui vont donner naissance à toutes la suite des romances : Deuce et Eva… Je dois avouer que mon cœur de maman a eu un petit coup quand j’ai lu le prénom, Eva, ma fille – portant le même prénom – arrive à l’âge de notre héroïne, je pense qu’entre ces cinq et six ans elle n’ira pas faire un tour dans un parloir #Interlude.

Tandis qu’elle rend visite à son père à Rikers Island, Eva Fox cinq ans, fille de Preacher et Prés des Silver Demons, va tomber sur le charme du vice-président des Horsemen, Deuce West.  Différence d’âge ou pas, les sentiments d’Eva vont grandir avec le temps, les chemins de nos héros vont se croiser à des moments-clés de leur vie et malgré les doutes et les erreurs, ils devront se rendre à l’évidence : leur destin était lié depuis le début.

Bien que le roman tourne principalement autour d’Eva et Deuce on découvre tous les héros de la série : Reaper le père de Deuce, Kami la meilleure ami d’Eva, le frère de substitution d’Eva, Frankie, les enfants de Deuce, Cage et Danielle dit Dannie et les soldats des HH, Ripper, ZZ, Cox, Hawk, Blue, Jase, Mick, sans oublier les brebis, Dorothy et Miranda pour ne citer qu’eux.

Pour continuer dans les relations (im)possible, le second opus met en avant la romance de Danny et Ripper.  Ripper cet homme blessé dans sa chair, bien des années auparavant ne s’imaginait jamais vivre une vraie relation, avoir sa régulière, mais lorsque son coeur choisit, Danny, il préfère fuir sa vi(ll)e et ses sentiments.

Tout comme Deuce et Eva, j’ai ressenti le côté  » Roméo & Juliette », l’histoire d’amour impossible de part leur rang dans la société de biker.  Tout comme Eva, Danny connait bien les rouages de biker, ce qui lui ai permis et ce qui lui ai interdit, elle a tenu secret ses sentiments à l’égard de Ripper, a vu l’homme derrière ses blessures. J’ai apprécié l’évolution de leur relation malgré le tumulte et le drame.

Bien que n’ayant aucun amour pour City Miles et pour la bande des HH’s, Tegen a toujours nourrit des sentiments pour son ami d’enfance, Cage West. Mais lorsque celui-ci se joue d’elle, elle profite pour prendre la tangente pour s’éloigner de cette famille qui lui a tout pris et de cet homme qui lui a tout pris.

Dans ce troisième opus on découvre la romance haute-en-cris et couleur de Tegen et Cage.  Je ne l’ai pas entendu concrètement mais à chaque fois que j’imaginais la voix de Tegen, je visualisais une voix criard, grinçante et agaçante.  Il est clair que lorsqu’on connait le drame qui touche sa famille – lire tome 2 -, on comprend son aversion pour les HH’s.  Malgré cela, Tegen revint en ville et va devoir jouer des coudes pour maîtriser ses sentiments à l’égard de Cage.  Tout comme Tegen, Cage est un enfant qui a été oublié par son seul parent, il se réfugie là ou il le peut, mais il va se battre contre lui, contre Tegen pour enfin profiter de ce que la vie lui offre :  de l’amour geulard !

Qui de mieux que la brebis à la vie encore plus tumultueuse que Deuce pour clore cette chronique : Dorothy ! Enceinte à 15 ans, mariée à 18 ans, femme infidèle, maîtresse « cachée » et brebis.  Dorothy a eu plusieurs badge à son actif, mais lorsqu’elle est touchée par balle, sa relation interdite avec Hawk, le frère de son amant connu, Jase, ne pourra plus rester confinée.

Impossible de parler de cette relation sans spoiles les minis histoires dans les tomes précédents, donc, je vais être le plus concis possible en ne dévoilant rien de plus que ce que j’ai mis.  Sorry mais il est agréable de découvrir quelques fois par soi-même le fond des choses, plus tot que d’arriver avec une trame préécrite – oui je te vise résumé !-. Sinon vous avez ma petite découverte du jour … Oui même moi, je m’étonne !

J’ai lu ces quatre opus d’une traite, j’ai savouré chaque moment, chaque instant et après le clap de fin que j’avais complètement oublié, je n’ai qu’une hâte … Me plonger dans le dernier opus de la série et découvrir en passant le Prés des Demons ♥

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– Tu es meilleur que tu ne le crois, murmurai-je.  Je ne m’en étais pas rendu compte quand j’étais petite.  Je n’avais pas compris pourquoi tu semblais toujours si triste, mais maintenant, oui.  Quelqu’un s’est introduit en toi, t’a blessé, foutu en l’air.  Et maintenant, tu crois que tu ne vaux rien alors que c’est faux.  Tu dois m’écouter quand je te dis que tu es meilleur que tu ne le crois.  Plus que ça, même. Pour moi, tu l’es.

Eva et Deuce – Indéniable

Parce que sans laideur, il n’y aurait pas de beauté.

Parce que sans beauté, nous ne survivrons pas à notre douleur, notre peine et nos chagrins

Danny et Ripper – Imparfait

Cage ne retenait qu’un seul critère pour parler d’amour : jusqu’où il était prêt à aller pour l’autre.  A quel point le bien-être et la survie de cette personne lui importaient.  Et il s’était toujours inquiété de Tegen.  Cela n’avait jamais cessé.  Elle appartenait à sa famille, elle était sa meilleure amie, et tout comme il aurait pris une balle pour ses sœurs ou pour ses frères du club, pour son paternel même, il savait, à cet instant-là, qu’il en prendrait une pour elle aussi.

Tegen et Cage – Inaccessible

– Je ne sais pas à quoi je m’attendais, grinça-t-il.  Mais rien de tout ça n’importe plus.  Tu as dit que tu m’aimais, tu sais que je t’aime, donc je ne vois pas où est le problème et pourquoi tu ne ramènes pas tes fesses ici pour que je puisse te toucher.

Doroty et Hawk – Tourmenté

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Liaison plurielles, tome 1 – L’amour à trois de Elia Winters

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#Boumbadaboum ! Ce MMF était juste à point, est tombé à point et m’a fait consumé de toute part ! #ILiked

Ce n’est pas parce que l’on tient un sex-shop que l’on est ouverte à toutes propositions, et lorsque, Ben, son nouveau sex-friend ajoute son associé-coloc et accessoirement amant dans leur moment intime, Hannah est très loin de s’imaginer que tout cela va la mener à l’extase et au polyamour.

Comme dis précédemment, j’ai tout adoré dans ce book : la trame, les personnages, l’évolution de la relation des héros, l’inconnu… Tout était agréable et agréablement bien dosé, pas de redondances ou d’exagération… Bon ! Je ne sais pas si on peut dire cela car je ne suis pas une experte dans le polyamour et le peu que l’auteure nous offre, grâce au groupe de Karen, était bien détaillé et peut servir de base pour tout individu.

JE suis directement tombée en amour pour Hannah, tout d’abord son job de responsable d’un sex-shop, non pas que les femmes ne peuvent accomplir ce travail mais il est clair qu’avec un tel démarrage je ne pouvais que m’intéresser à elle. Elle est rentre dedans, fonceuse, mais au fil des pages on découvre une autre femme Hannah, plus sensible, timide et aimante. Du côté des hommes, j’ai directement accroché au personnage de Mitchell, il est touchant, adorable, sensible et un ami-amant-associé. J’ai apprécié de voir son personnage évoluer tout en gardant cette constance, Ben de son côté était à l’image de ce que je m’étais imaginée : grande g****, grand coeur et toujours là pour porter ces amis à bras-le-corps : en bref un trio en total symbiose qui m’a fait ré-aimer le MMF et plus particulièrement le polyamour. Bien que ce roman commence comme un concentré de sex machine, il se termine par une découverte le polyamour et j’espère que les tomes suivants suivront ce sujet qui mérite d’être développé.

Enfin, très belle découverte de part son sujet – polyamour-, ces personnages – trio d’enfer- et son auteure, total découverte que j’ai hâte de retrouver.

#Jerecommande !

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– On ne peut pas contrôler son amour en ne s’y risquant qu’une fois certain que quelqu’un partage vos sentiments au même niveau et à la même intensité. C’est impossible. Quelqu’un doit faire le premier pas et prendre des risques.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Elodie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Agents et associés, tome 2 – Etroite collaboration de Layla Reyne

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Autant vous dire que j’ai fait des bonds de cent mètre à la réception de cet opus et qu’il a a été englouti en moins d’une journée.  Je l’affirme de part en part : Irish et Whiskey ont conquis mon coeur !

Alors qu’ils enquêtent toujours sur le drame qui a tué le mari d’Aidan, nos jeunes agents du FBI vont devoir faire une halte en Caroline du Nord, pour enquêter sur des paris illégaux de tournois de basket universitaires.  Bien que cet entracte soit le bienvenu, il va obliger Jaime à renouer avec sa précédente carrière de basketteur.

On entre directement dans le cœur de l’histoire.  Bien que nos héros continuent à rechercher les responsables de l’accident qui a coûté la vie à Gabe et son associé, Jaime et Aidan vont devoir endosser les capes d’entraineur et agent le temps d’une mission ou ils vont devoir mettre de côté leur attirance.

Qu’il était bon de voir, Jaime dans son rôle d’entraineur et plus que tout de le voir se battre contre ces jeunes joueurs aux propos et agissements totalement déplacés.  Et oui, les homosexuels doivent encore se battre dans le monde du sport à niveau, mais plus que tout Jaime va devoir se lutter contre un fantôme de son passé.  Du côté d’Aidan aka l’agent double – agent du FBI et agent sportif … il faut suivre -, dans cet opus il était présent sur les deux enquêtes, tout en étant dans l’ombre – de Jaime -, il faudra attendre la fin de l’enquête sportive pour le revoir sur le devant de la scène et se démener pour son co-équipier/amant.

Comme dis précédemment, j’ai englouti ce roman en une journée, tout était palpitant que cela soit dans les enquêtes ou dans la relation de nos héros, j’ai craint le pire pour eux dans tous les sens du terme !  Layla a un peu plus englouti mes neurones avec son duo policier.

Enfin, petite parenthèse qui n’aura pas manqué de plaisir et qui mérite une suite très très vite !!!!

#Jerecommande

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– Je ne comprends pas.

– Qu’est-ce qu’il y a de difficile à comprendre ?

– Pourquoi c’est eux que tu veux alors tu peux m’avoir, moi ?

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Elodie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Un bonheur imparfait de Colleen Hoover

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Putain de bordel de merde ! Colleen, m’a encore eu en plein coeur.  J’ai lu ce roman deux fois. Oui, deux fois ! La première fois, je pensais à une hallucination et la seconde n’a fait que me confirmé que cette auteure était au top of the top !

Cette histoire m’a touché, non pas seulement pour le côté sensible de la chose.  Mais parce qu’elle a fait ressortir de vieilles douleurs, que je pensais avoir oublier avec la venue de mes filles et pourtant, il a suffit d’un roman, d’une histoire pour que tous mes souvenirs me reviennent et que je me revois dans les traits et les actions de Quinn et que je réentrevois, ressens la peine qu’a été celle de mon mari #pleurepas !

Tandis qu’elle est sur le point de se marier, Quinn va découvrir que son cher fiancé, Ethan, la trompe avec Sacha, la petite amie de Graham.  Bien des mois après cette double confrontations, Quinn et Graham vont entamer une relation et se marier.  Alors qu’ils coulent des jours heureux d’apparence, le couple n’a qu’un seul souhait : fonder une vraie famille.

Je suis née.  C’est tout ce que j’aurai accompli jusqu’à ma mort.  Je reste au bord du cycle de la vie à regarder le monde tourner et je demeure au point mort.

Je ne dirais pas que j’ai été happée au fil de pages, j’ai vraiment eu cette sensation d’être Quinn, sa douleur m’a bouffé les entrailles, à chaque page, je me demandais ce qui allait m’attendre comment Colleen allait interpréter les échecs du couple, comment Colleen allait nous faire ressentir la douleur de Quinn à chaque couler de sang et test négatifs, ses silences, ses pleurs, cette façade aux yeux de la société.  Tout, tout, tout était authentique, à mes yeux.  J’en ai pleuré de satisfaction.  Oui de satisfaction, car je ne me sentais pas roulé dans la farine, pas d’excès ou d’abus, c’était vrai à mes yeux.  Cette douleur était réel.

Il se rapproche d’un pas assuré, pose une main près de ma tête, me plaque contre la porte. Et je comprends alors pourquoi je le trouve si séduisant.

C’est parce qu’avec lui je me sens séduisante. Avec sa façon de me regarder, de me parler… je ne pense pas que personne d’autre m’ait donné l’impression d’être aussi belle.

J’ai également apprécié que Colleen face évoluer la trame avec des séquences avant pour nous montrer la face bonheur du couple, ses débuts insouciants, ses souhaits, cet amour insouciant qui ne connait pas encore la face B.  J’ai honte de l’écrire, mais bien qu’ayant apprécié ces moments, ce n’était pas ma partie préféré du roman, je voulais vivre dans le moment présent, avec Quinn, garder certes ces bons moments ne pas les oublier, mais je peux vous assurer que lorsque vous souhaitez fonder une famille, vous les oublier très vite !

Outre le point de vue de Quinn, il était bon de lire, le ressenti de Graham, car un couple et un enfant ça se fait à deux ! Lorsque l’on souffre on a l’impression d’être le seul à souffrir, on reste dans sa bulle on se donne une apparence, et les petites remarques/attentions de Graham étaient bien placées.  Quant on dit que « la patience est une vertu » et bien j’y crois quand je vois le personnage de Graham.  Je ne peux qu’applaudir et me ressentir coupable #pleurepas !

Hoover m’a une fois de plus catapulté avec cette histoire sensible sur la fécondité et le souhait d’une femme, d’un couple à vouloir devenir mère, parent.  Certains pourraient penser – à tort-, qu’à force ce n’est plus un souhait mais un caprice, mais je me souviens de ce que mon mari m’a dit à l’époque et il n’y avait aucun caprice, juste un projet de vie de commun.

Pour conclure… Il n’y a pas de vrais mots de fin après une telle histoire : Ajout PAL !

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Si j’étais mère, je m’émerveillerais de chaque instant de la vie de mes enfants.  Je serais reconnaissante de les voir geindre ou pleurer de soigner leurs maladies, de les entendre me répondre avec insolence.  Je chérirais chaque seconde qu’ils passeraient à la maison en été et ils me manqueraient sans cesse pendant l’école.

Quinn

Je t’aime chaque seconde de chaque jour depuis l’instant où j’ai posé les yeux sur toi.  Je t’aime plus encore maintenant que le jour où on s’est mariés.  Je t’aime, Quinn.  Merde !

Graham

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marie et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Si demain n’existe pas de Jennifer L. Armentrout

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 » Tout finira par s’arranger. »

Megan… Cody… Philip… Chris… Abby… Dary… Keith… Sebastian et Lena, de jeunes héros qui m’ont brisé les synapses !

D’aussi loin qu’elle s’en souvient Lena Wise, 17 ans, a toujours été amoureuse de son meilleur ami et voisin, Sebastian Harwell préférant jouer la carte de l’amitié Lena a toujours tu ses sentiments.  Profitant d’une brèche, Lena va laisser parler son coeur, malheureusement la vie de cette jeune ado, va basculer du jour au lendemain et ne laissera de Lena qu’un coeur brisé rempli de culpabilité.

Comme dis précédemment, j’ai tout adoré dans ma lecture, je ne suis pas une accro du YA, j’en lis de temps en temps mais connaissant la maîtrise des sujets sensibles de Jennifer, je savais que ce roman allait me percer de toute part !

Comment surmontait-on un tel drame ? La peine s’amenuisait-elle au fil des ans? Le vide que cette personne laissait finissait-il par être comblé par autre chose? Pouvait-on un jour aller de l’avant?

Bien que traversant la trame dans le regard et les ressentis de Lena, je n’ai pas eu l’impression qu’elle volait la vedette.  Du début à la fin, l’histoire suit un groupe d’amis, des jeunes ado’s avec leurs insouciances, leurs priorités, projets scolaire, les petits émois de l’amour et plus que tout le retour à la réalité, aux fatalités de la vie, aux drames pas du tout programmé pour leurs jeunes âge.  J’ai été sensible à cela, car mon regard de lectrice et plus que tout de maman s’est quelques fois questionnés sur mes agissements à leur âge, sur ce que j’aurais fait à la place d’untel ou d’untel, quel aurait été mon discours en tant que parent, comment j’aurais réagi si la société – dans ce cas bien précis de petite ville Clearbook – me pointait du doigt, l’impact des réseaux sociaux,… Je ressors de cette lecture remplit de « et si ».

Je n’ai pas plus apprécié un personnage que l’autre, ils avaient chacun leur importance au sein de la trame, par contre les petits clin d’oeil aux copines auteures n’est pas passés inaperçu – Darynda Jones -.

Enfin, un second souffle dans une vie brisée si jeune, rempli d’espoir pour de si jeunes vies… Oooohhh oui, une très très belle histoire ♥

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Je savais que je ne pouvais pas recommencer de zéro. Je ne pouvais pas réécrire le milieu de mon histoire.  Tout ce que je pouvais changer, c’était demain, tant qu’il existait.

Lena Wise

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Robin pour l’envoi de ce Service-Presse

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A la dérive de Jane Devreaux

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Une fois de plus j’aime le fait de ne jamais lire un résumé, de me fier à la cover et à l’auteur.e surtout si c’est un.e auteur.e qui m’avait prise par surprise dans le passé et qui m’avait fait découvrir des personnages blessés par la vie et pourtant porteur d’espoir.  Et  » A la dérive », ne déroge pas à cette règle : Jane a encore pondu une petite pépite.

Dans cette histoire, on retrouve Lea, une jeune femme qui n’a qu’un seul but : être en contact avec Adam, hospitalisé dans un centre psychiatrique. Alors qu’elle touche au but, elle va devoir tenir compagnie à un dernier patient, Alex.  Ce qui ne devait être qu’un petit détour, va vite se révéler porteur de seconde chance pour nos héros.

Lorsque l’on débute un roman sans en connaitre la thématique, on entame sa lecture en tâtonnant.  On s’approprie vraiment l’histoire. Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà lu des histoires se déroulant dans un centre fermé et/ou psychiatrique.  Je n’ai pas été mal à l’aise bien au contraire, cela a crée une petite ambiance, très loin d’être malsain, le confinement a joué avec ma curiosité.

Pour cette lecture, j’ai directement été happée par Léa, cette jeune femme prête à tout pour être au plus près d’Adam.  J’ai apprécié l’ambiguïté que Jane fait planer dans la relation entre Léa et Adam.  On découvre assez vite que Léa a dû faire certains choix pour rester vivante. Je n’ai rien contre les badboy mais quel plaisir de retrouver un coeur – corps – écorché qui n’entre pas du tout dans ce cadre.  Alex m’a touché du début à la fin.  Un jeune homme meurtri par la vie qui doit porter sa croix et qui retrouve auprès de Léa de l’espoir, de l’envie et de la vie.  Comme pour Léa, il mûrit au fil des pages, mais garde toujours cette petite crainte sur lui et ce qu’il a été. #Badaboum.  Des personnages annexes, viennent prendre part à la trame : Joris et Charlotte les amis de Léa, la famille d’Alex, son jeune frère, son beau-père et sa mère, je n’ai pas spécialement eu de grief à l’égard de celle-ci mais je lui ai aurais bien fait un bon croche-pied !

Pour conclure : Une très belle surprise tant sur le fond que sur la forme avec des personnages attachants.  A LIRE SANS MODÉRATION !

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– Ma sweet hand, je suis à toi. Moi, ce n’est pas grand-chose, mais je n’ai rien de mieux. Je ne peux pas t’offrir ma vie, je suis condamné, je ne peux pas te donner mon âme, je l’ai déjà vendue, il ne me reste que mon corps et il t’appartient. Tu es libre, je te demande juste d’adoucir ma peine en attendant de trouver celui qui te rendra heureuse.

Axel

Tu ne le sais peut-être pas, mais la vie est bien plus belle avec toi et pas uniquement parce que tu m’as rendu ma liberté. Avec toi, je n’ai plus besoin de faire semblant d’aller bien ou d’être heureuse, d’être quelqu’un de gentil ou de compréhensif, je peux être moi sans avoir la désagréable impression que ce n’est pas suffisant. Tu ne le vois pas, mais je me retrouve dans ta douleur, je te comprends.

Léa

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marion et Marie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Dublin Street, tome 1 à 5 de Samantha Young

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J’avais lu le premier opus à sa sortie, le temps se faisant, j’avais cumulé les opus et maintenant que la collection est là : Je reprends !

On démarre avec le couple fard de la série : Jo et Bradley.

Un boulot de serveuse, un nouvel appartement en colocation, un quartier agréable, une nouvelle vie, et des rêves de romans plein la tête, Jo pense avoir tous sur les rails, en tout cas jusqu’au moment ou elle va croiser le regard du demi-frère de sa coloc, Bradley.

Dès le premier opus on découvre une bonne partie des personnages qui vont nous accompagner durant ce très long périple écossais : Jocelyn Butler, Bradley Carmichael, sa soeur, Ellie, Adam son meilleur ami, la belle-famille de Bradley, Johanna la collègue de Jo…

Dans le second volume de la série, Samantha revient sur la romance entre Ellie et Adam et plus particulièrement sur tous les sentiments d’Ellie à l’égard du meilleur ami de son frère.

Sur la London Road, on découvre le personnage de Johanna, la collègue de Jo, cette jeune femme aux allures de femme vénale, qui cache un drame familiale trop vite découvert par son beau voisin, Cameron Mac Cabe –> avec un tel nom il ne peut être que HOT !!

Petit interlude, sur la Castle Hill avec Jo et Bradley qui reviennent sur la phase procréation de leur couple.

On poursuit l’aventure de nos amis avec Olivia, la fille du beau-papa de coeur de Johanna et son histoire d’amour-geekette avec Nate Sawyer.

Au fil des tomes, les héros ont bien grandi et ce n’est pas Hannah la jeune prof et Marco que l’on retrouve dans India Place, qui me diront le contraire.

Sur la Scotland Street, on retrouve le jeune frère de Johanna et son amour éclair, Shannon.

Cette série m’a transporté, j’ai lu les romans sept romans d’une traite, c’est typiquement le genre de romance que je pourrais lire à l’infini et pas seulement dû à ma mémoire de poisson rouge, mais parce qu’il est agréable de voir les personnages évoluer.  On démarre avec de jeunes gens et un groupe d’ados, qui évolue au fil des tomes, on passe des rires aux larmes.  Oui, j’ai pleurniché avec l’histoire d’Hannah, j’ai été fière d’Olivia, amoureuse comme Ellie, tout, tout est bon dans cette série.

Dans chaque opus Samantha nous fait découvrir une rue emblématique de Dublin – une big pensée pour les copines qui iront à la RARE d’Edimbourg -.  J’ai voyagé de mon salon, des étoiles plein les yeux, une java de papillon dans le bidou et une explosion de #Badaboum.  I liked !

Pour conclure, une série A LIRE sans modération ! Vivement la suite ^^

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J’ai l’impression qu’il me manque quelque chose de capital quand tu n’es pas là.  A tel point que je ne me sens plus moi-même.  Je n’avais encore jamais eu l’impression que quelqu’un m’appartenait.  Mais tu es à moi, Jocelyn. Je l’ai su dès que nous nous sommes rencontrés.  Et je suis à toi.  Je ne veux pas appartenir à qui que ce soit d’autre.

Braden et Jocelyn dans  » Dublin Street »

Je voulais de la confiance et de la sécurité, de l’affection et du rire.  Je voulais de la fidélité et de l’amitié.  Je voulais de l’amour.  Malheureusement, le destin m’avait joué un tour cruel et j’étais tombée amoureuse de la seule personne au monde que je ne pourrais jamais séduire.

Ellie dans  » Fountain Bridge »

Pouvais-je laisser tomber un homme qui tenait à moi, qui pouvait m’apporter à la fois la sécurité et des garanties pour l’avenir? Etais-je capable de sacrifier cela pour Cam ? Et si oui, qu’arriverait-il si notre relation se révelait n’être que charnelle? Sans une once d’émotion?

Jo, Dans  » London Road »

– Je t’aime, tu m’aimes, notre famille nous aime et elle est auprès de nous.  C’est tout ce qui compte.  Alors n’aie pas peur de l’avenir, pas peur de gâcher les choses de façon irrémédiable.  La vie n’est pas parfaite, nous non plus, mais crois-moi, Jocelyn : on est indestructibles.  Maintenant arrête de trembler, et épouse-moi.

Braden et Jo dans  » Castle Hill »

– Je ne sais pas trop comment je dois le prendre.

– En tout cas, voici un autre conseil : si tu l’envoies promener une nouvelle fois, il va passer à autre chose.  Et Cole n’aime pas les coups d’un soir, il y a donc des chances pour sa prochaine copine soit là pour un moment, si ce n’est pour toujours.  Tu préfères devenir copine avec la copine de Cole Walker, ou devenir directement la copine de Cole Waker

Rae et dans  » Scotland Street »

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On comptera les étoiles de Fleur Hana

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Je sais qu’il ne m’abandonnera pas, parce que je ne me suis jamais sentie aussi aimée… Lui et moi, c’était écrit dans le ciel, comme une prophétie.

Je dois vous avouer que j’avais une crainte quant à ma lecture, par sur le fond ou la forme car Fleur est une auteure à la plume attachante. Non j’avais craint que l’univers YA lui fasse défaut et l’histoire de Sam et Lia est tellement touchante que je lève mes pouces et mes orteils !

Tout les opposes et pourtant Samuel et Amélia, deux lycéens, vont au détour d’un couloir entamer les premiers pas d’une belle amitié.  Tantôt douce, tantôt marrante, tantôt sensible et surtout belle.  Au fil des pages on suit ces ado’s au travers de leur relation.  On  évolue avec eux.  L’un ne va pas sans l’autre, ils sont le Yin et le Yang.  J’ai apprécié que Fleur profite de ces personnages pour pousser le trait sans excès, il garde cette part de maturité « avant l’âge ».  Samuel est un jeune homme compréhensif, patient.  Là ou Lia nous rappellera combien il est parfois dure d’être une jeune fille en quête de réponse.  Et dire que j’ai des jumelles. Aïe caramba !!!!  Du côté des familles, j’ai pas mal ris avec la famille de Samuel, ils entretiennent de si bons et beaux rapports.  Le type de parents que nous aurions voulu avoir et que nous souhaiterions être.

L’histoire est très bien écrite, Fleur m’a fait vibrer. Chaque mot est joliment posé et plus particulièrement la partie mettant en avant Loki… Pour cela, je dis  » one point ».  Même les yeux fermés on ressent la FleurTouch, cet humour piquant, ces petites vérités sur la vie sans entrer dans un cliché redondant.  Non, juste ce qu’il faut.  C’était parfait.

Pour conclure, je ressors de cette lecture les étoiles pleins les yeux mi-riant mi-larmouchant.  Une tuerie que je recommande sans hésiter !!!!

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Jamais je ne cesse de lui sourire, de cette manière rassurante qui, je l’espère, fonctionne au moins un peu. Je ne veux pas que sa peur soit liée à moi, au mal qu’elle pourrait craindre que je lui fasse. Au contraire, j’ai envie de la protéger de ce qui la rend si taciturne, aujourd’hui. C’est pour ça que nous sommes ici, et même si ça n’est pas un succès total, ça l’est assez pour m’encourager.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Robin pour l’envoi de ce Service-Presse

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