Love and other words de Christina Lauren

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Je m’accorde trois secondes supplémentaires pour le regarder – encore un coup de poing dans le ventre. C’est mon alter ego. Il a toujours été mon alter ego. Mon meilleur ami, mon confident, probablement l’amour de ma vie. Et j’ai passé les onze dernières années à être furieuse et moralisatrice. Mais finalement, c’est lui qui a créé une fissure entre nous, avant que le destin nous sépare.

Onze ans après avoir fermé la porte qui la reliait à sa bouée de sauvetage, Macy, jeune interne, va croiser le chemin, d’Eliott, son double, celui qui a été là, présent, pour elle après la mort brutale de sa mère et son emménagement dans sa nouvelle vi(ll)e. Bien qu’ayant masqué son amour pour Eliott, Macy ne peut donner suite aux sentiments de celui-ci, car Macy est fiancée et elle est sur le point de se marier.

Une fois de plus le duo CL m’a transporté, tout était bon dans cette histoire. Macy est une ado lorsqu’elle perd sa mère, jeune complexée en pleine phase de mutation, va découvrir en Eliott, son premier en tout : amitié, confidence, amour et chagrin d’amour. Son personnage est agréable, elle est très loin du cliché de la jeune ado, la jeune femme porte encore en elle les séquelles de cette jeunesse – triplement – perdu. Du côté d’Eliott, j’ai adoré sa phase ado zéro filtre, un vrai ami pour Macy.

– Je me demandais juste comment ça fonctionnait.

– Comment quoi fonctionnait ?

– Quand tu… (J’esquisse un geste clair qui ne laisse aucun doute sur le contenu de mes pensées.) Les mecs et leur… tu sais. Il lève les sourcils en attendant que je termine ma phrase. Je perçois le moment précis où il comprend ce que je veux dire. Ses pupilles se dilatent si vite que ses yeux semblent noirs.

– Tu es en train de me demander comment les bites fonctionnent ?

Et encore plus l’Eliott adulte qui saisit chaque occasion et profite de chaque moment comme si celui-ci était le dernier. Il va s’offrir – leur- offrir l’occasion de remplir les blancs et d’avancer.

La trame est captivante, on revit les moments avant et après, un chassé-croisé qui permet à la trame d’être en continuelle mouvement. Pas de stagnations, ni de redondance. Une histoire qu’un.e ado et/ou un.e adulte pourrait lire sans modération.

Pour conclure, une très belle histoire d’amour qui ne masque nullement son cachet second chance rempli d’espoir et de douceurs.

#JeRecommande !

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– Je ne suis pas prête pour ça.

– Tu dois te préparer psychologiquement pour me voir ?

– Si je devais me préparer psychologiquement pour voir quelqu’un, ce serait toi.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marie et Jessica pour l’envoi de ce Service-Presse

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Briar University, tome 2 – The risk de Elle Kennedy

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Après, Summer, la petite sœur de l’ancienne star de hockey, place à sa BFF – forcé à tenir ce rôle – : Brenna.

Brenna connait tout du monde du hockey universitaire et de ces joueurs fards, et pour cause elle est la fille de l’entraineur, soit une intouchable ! Mais lorsque Brenna souhaite s’émanciper et obtenir le stage de ses rêves, elle devra pactiser avec la star d’Harvard, Jake Connely qui va se révéler être un adversaire de taille.

Autant j’ai apprécié le précédent opus, autant l’histoire de Brenna était plus que captivante.  Impossible d’abandonner ma lecture en cours de chemin, je devais savoir comment les affaires scolaires-amoureuses-sportive de Brenna allait évoluer, comment tout cela allait se terminer pour nos tourtereaux, car il ne faut pas se leurrer ils jouaient gros tout les deux et pas seulement Brenna qui avait sur ses frêles épaules la réputation de papa et sa futur ascension professionnelle ! Oui, bon OK ! Brenna risquait plus que Jake.

L’histoire se laisse lire et savourer du début à la fin, la trame évolue entre gage-humour-amour et révélation sur la vie personnelle de nos héros.  On retrouve bien entendu toute la bande d’ami.e.s, un petit pincement au coeur pour Mike et une grande attente du côté de Hunter.

Elle, nous offre encore un grand moment sportif, les coups de cross vont dans tous les sens, sans blesser grave mais avec une belle victoire pour nos Roméo-Juliette du hockey universitaire !

Pour conclure, ce spin-Off a encore de beaux jours devant lui, en tout cas une belle suite à venir !

#Jerecommande

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J’essaie de ne pas lever les yeux au ciel.  Quoi, ils sont déjà amis? Je ne sais pas pourquoi, le fait que Jake s’entende avec tout le monde m’agace.  Sans doute parce qu’il m’est difficile de le percevoir comme l’ENNEMI quand il semble aussi sympa.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Jessica pour l’envoi de ce Service-Presse

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Pour me sauver de Kalypso Caldin

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Je l’avoue la couverture ne paie pas de mine et si on n’est pas fan de romance bikeurlisante et bien on passe à côté et on continue son chemin ! Mais je vous arrête tout de suite, n’ayez crainte que cela soit à l’égard de la couverture, je dis ça en tant que cover reader ou sur le possible sujet de la romance, car l’histoire en elle-même en vaut le détour.

Je ne vais pas revenir sur le chapitre  » ne lis jamais les résumés », mais lorsque j’eus ce roman entre les mains, j’avais une grosse crainte car comme dis précédemment, je craque en premier sur la couverture et ici, je n’étais pas du tout emballée mais je me suis prise au jeu de commencer l’histoire et de me faire TO-TA-LE-MENT happer par nos héros et plus particulièrement par Sydney !

Alors qu’elle vient de réaménager chez son père, Ben, Sydney va jeter son dévolu – et ses blagues carambar -, sur Nojan, pas seulement pour le sex-appeal qu’il dégage mais surtout parce que Sydney a vu en Nojan Saïdi un partenaire de jeu redoutable et capable de lui procurer ce qu’elle désire pour se sentir vivre :  de la peine.

La souffrance de Nojan était immense, au point que je la sentais couler dans mes veines. Avoir mal, c’était ma came… mais là, j’étouffais.

WHAT ! WHAT ! WHAT ! Oui, oui, et re-oui, le kiffe « ultime » de Sydney et de ressentir de la douleur ! Ça peut paraître bizarre, mais derrière cette volonté de souffrance – et ses blagues carambar -, se cache une jeune femme meurtrie, blessée, que j’ai eu du plaisir à éplucher tel un oignon.  Contrairement à l’idée de base, sur notre jeune Héro, Nojam est très très trèèèèèèèèèèèèèèèèèssss loin de l’idée que l’on se fait d’un biker, il s’agit simplement d’un motard. Pas de club, quelques tatoo, quelques jeunes amis de fac, Steph et Victor et de beuverie,  Terry.  Nojam va se révéler être un personnage, voir un partenaire à la hauteur du challenge lancé par Sydney.  J’ai apprécié que dès le départ, la relation de Syd et No’ ne soient pas entravé par le sceau du secret, tout est dit, tout est – assez – clair, ce qui rend le jeu plus excitant et permet au personnage de ne pas se cacher l’un de l’autre.  Idem pour ce qui est des drames de la vie qui touchent nos héros, pas de chichis, on ne s’étire pas en longueur.  Outre nos héros, on découvre leur ami.e.s : Violette, la meilleure amie – de force – de Syd, Steph, le dessinateur, Victor, Terry, sans oublier les membres de leurs famille.

Pour un premier roman de l’auteure, je ressors séduite, par sa plume, par son histoire, par la sensibilité et les coups de folie de ses héros.  On reste dans un sujet sensible, sans être en quête de nous arracher quelques larmes.  Il y a une histoire et plus que tout, j’ai eu envie de connaitre le fin mot de l’histoire, car Kalypso maintient le suspense jusqu’au bout.

Pour conclure, malgré ma petite crainte au démarrage, j’ai pris un petit plaisir à Lexington avec Sydney et Nojan… Comme quoi, il ne faut pas – trop – se fier à une couverture !

Le mot de la fin …

Comment l’homme invisible appelle-t-il ses parents ?

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Ça faisait longtemps que je n’avais pas éprouvé une telle émotion, si vive et si pure…

Peut-être que je me trompais, finalement.  Peut-être que la douleur n’était pas le seul sentiment capable de me rappeler que je vivais toujours.

Sydney

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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A la dérive de Jane Devreaux

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Une fois de plus j’aime le fait de ne jamais lire un résumé, de me fier à la cover et à l’auteur.e surtout si c’est un.e auteur.e qui m’avait prise par surprise dans le passé et qui m’avait fait découvrir des personnages blessés par la vie et pourtant porteur d’espoir.  Et  » A la dérive », ne déroge pas à cette règle : Jane a encore pondu une petite pépite.

Dans cette histoire, on retrouve Lea, une jeune femme qui n’a qu’un seul but : être en contact avec Adam, hospitalisé dans un centre psychiatrique. Alors qu’elle touche au but, elle va devoir tenir compagnie à un dernier patient, Alex.  Ce qui ne devait être qu’un petit détour, va vite se révéler porteur de seconde chance pour nos héros.

Lorsque l’on débute un roman sans en connaitre la thématique, on entame sa lecture en tâtonnant.  On s’approprie vraiment l’histoire. Je n’ai pas le souvenir d’avoir déjà lu des histoires se déroulant dans un centre fermé et/ou psychiatrique.  Je n’ai pas été mal à l’aise bien au contraire, cela a crée une petite ambiance, très loin d’être malsain, le confinement a joué avec ma curiosité.

Pour cette lecture, j’ai directement été happée par Léa, cette jeune femme prête à tout pour être au plus près d’Adam.  J’ai apprécié l’ambiguïté que Jane fait planer dans la relation entre Léa et Adam.  On découvre assez vite que Léa a dû faire certains choix pour rester vivante. Je n’ai rien contre les badboy mais quel plaisir de retrouver un coeur – corps – écorché qui n’entre pas du tout dans ce cadre.  Alex m’a touché du début à la fin.  Un jeune homme meurtri par la vie qui doit porter sa croix et qui retrouve auprès de Léa de l’espoir, de l’envie et de la vie.  Comme pour Léa, il mûrit au fil des pages, mais garde toujours cette petite crainte sur lui et ce qu’il a été. #Badaboum.  Des personnages annexes, viennent prendre part à la trame : Joris et Charlotte les amis de Léa, la famille d’Alex, son jeune frère, son beau-père et sa mère, je n’ai pas spécialement eu de grief à l’égard de celle-ci mais je lui ai aurais bien fait un bon croche-pied !

Pour conclure : Une très belle surprise tant sur le fond que sur la forme avec des personnages attachants.  A LIRE SANS MODÉRATION !

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– Ma sweet hand, je suis à toi. Moi, ce n’est pas grand-chose, mais je n’ai rien de mieux. Je ne peux pas t’offrir ma vie, je suis condamné, je ne peux pas te donner mon âme, je l’ai déjà vendue, il ne me reste que mon corps et il t’appartient. Tu es libre, je te demande juste d’adoucir ma peine en attendant de trouver celui qui te rendra heureuse.

Axel

Tu ne le sais peut-être pas, mais la vie est bien plus belle avec toi et pas uniquement parce que tu m’as rendu ma liberté. Avec toi, je n’ai plus besoin de faire semblant d’aller bien ou d’être heureuse, d’être quelqu’un de gentil ou de compréhensif, je peux être moi sans avoir la désagréable impression que ce n’est pas suffisant. Tu ne le vois pas, mais je me retrouve dans ta douleur, je te comprends.

Léa

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Marion et Marie pour l’envoi de ce Service-Presse

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The Ivy Chronicles, tome 3 – Délices de Sophie Jordan

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AAMMMOOOUUURRRRRRRR ! L’opus de Georgia est celui que j’attendais depuis le début donc autant vous dire que j’ai fait un triple saut périlleux quand j’ai lu que le héros du jour n’est autre que Logan, le jeune frère de Reece – le petit ami de Pepper -, qui apparaît brièvement dans les précédentes lectures.

Alors qu’elle se remet tout doucement de sa rupture après quatre ans de relation.  Georgia va entamer u nouveau chapitre dans sa vie et le premier acte sera de s’émanciper et se prouver à elle-même qu’elle n’est nullement la fille ennuyeuse décrite par son ex et pour cela, rien de mieux qu’une petite nuit de débauche aux soirées interdites organisée par l’un des étudiants du campus, mais avant même de passer le cap du baptême, le projet de Georgia va être tué dans l’oeuf par Logan qui va s’avérer être un très bon prof pour les grandes découvertes !

La trame.  On rentre directement dans le vif du sujet, après une rencontre embarrassante et un baiser troublant, Georgia va avoir à l’égard de son beau-frère par amitié des sentiments troubles, mais plus que tout Georgia va devoir se battre face à la  » différence » d’âge entre eux – euuuhhhhh il ne faut pas déconner ce n’est plus du tout un gamin -.  Je n’oserais pas dire que les personnages évolues, car la gifle va surtout se faire du côté de Georgia qui en plus de ses sentiments, doit se battre contre une emprise maternelle sur sa vie.

L’histoire est bien ficelée, je me suis un peu plus attachée aux personnages, surtout qu’on les quitte sans vraiment les quitter – Samantha ?????? -.  Le plaisir est omniprésent, mon nid de papillons a pas mal travailler durant la lecture.  Sophie  m’a encore offert un très bon moment de lecture.

Pour conclure, une plume captivante, un couple inattendu, une romance tout en douceur = plaisir diffus !

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– Qu’est-ce que tu fais ? murmurai-je.

– J’écris mon nom.

Je distinguai alors le tracé des lettres.  Son nom écrit sur ma peau.  L-O-G-A-N.  Comme s’il venait de poser son empreinte sur moi, qu’il me revendiquait.  Et ça collait avec ce que je ressentais à ce moment précis.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Robin pour l’envoi de ce Service-Presse

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Briar University, tome – The Chase de Elle Kennedy

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Back To School !

Après avoir mis en avant les joueurs de hockey sur glace, place aux filles et c’est la soeur Di Laurentis qui ouvre le bal !

Attention spoiles — si vous n’avez pas lu la série Off Campus, il est clair que votre bond sera moins haut que le mien et que vous risquez d’être un peu dépaysé mais étant donné que cette série met en avant de nouveaux personnages du côté des filles – ouaaiiiisssss car les joueurs sont eu connus assez brièvement de la précédente série – et bien vous ne risquez rien en vous aventurant dans cette chronique.

Alors qu’elle vient d’être renvoyée de son université, Summer Di Laurentis débarque à la Briar University pour entamer une nouvelle année, mais sitôt arrivée elle va devoir subir une nouvelle déconfiture par la sororité Kappa Beta Nude du campus. N’ayant aucun point de chute, Summer va se retrouver grâce à son grand frère, Dean, à intégrer la colocation de Hunter, Mike et Colin, trois des joueurs de hockey sur glace du campus. Bien qu’étant son dernier recours pour commencer correctement son année, Summer ne peut jurer de rien du côté de ses sentiments à l’égard du geek du groupe : Colin Fitzergald.

Bien que mettant projeté dans une prépa lecture, je suis revenue dans la série comme si je l’avais quitté hier et pourtant dieu sait que j’ai une mémoire de poisson rouge. Quel plaisir de retrouver les jeunes joueurs : Mike Hollis, Hunter Davenport et Colin Fitzegarld et accessoirement les colocs de Summer et de découvrir la face féminine du clan di Laurentis qui est l’exact opposé de son frère, Dean aka Dicky. Summer est fraîche, franche, adorable et plus que tout c’est une battante son petit handicap l’a rend attachante et un rien unique. J’ai vraiment apprécié cet aspect de sa personnalité. De l’autre côté nous avons le héros taciturne, un geek sans trop entrer dans les clichés du gars enfermé chez lui avec sa console de jeu, oui bon il a crée son petit jeu mais il n’empêche qu’il n’est pas redondant ni lourd, il est juste à point et à croquer !!!

Le plaisir ayant joué un rôle clé durant ma lecture, j’ai dévoré le tome en moins d’un jour. Bien que les héros de « Off Campus » font quelques apparitions, mon attention a surtout été attiré par Brenna, la fille de l’entraîneur et Mike ⇒ un bon jeu de joute verbale à venir… Affaire à suivre.

Elle nous offre avec cette suite un petit bonbon acidulé qui explose au bon moment dans les synapses. Une dégustation sportive du début à la fin qui plaira aux lectrices de la première heure et pour les autres .. Laissez-vous tenter !

Et le long mot de la fin…

Je songe au fait que je suis une adepte du girl power. Malheureusement, nous vivons dans une société où l’on apprend davantage aux femmes à se crêper le chignon qu’à s’entraider. C’est totalement absurde. Nous devons nous aider les unes les autres en vue de notre émancipation, et pour apprendre aux générations futures combien il est important de rester soudées. Il fut un temps où nous avions des objectifs et un ennemi communs. Nous luttions pour le droit de vote et faisions brûler nos soutiens-gorge. De nos jours, nous passons trop de temps à nous moquer du corps des autres sur les réseaux sociaux ou encore à n’accuser que la maîtresse d’un homme qui nous trompe. Je ne suis pas une féministe radicale. Je ne considère pas les hommes comme des démons qu’il faudrait éliminer de notre société. Je pense que les hommes sont indispensables à notre monde. Leurs bites sont fantastiques, reconnaissons-le.

Ce serait simplement plus agréable si les femmes redevenaient un peu plus solidaires entre elles, comme au bon vieux temps.

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– Pourquoi tu ne voulais rien faire avec moi ?

– Parce que tu me rends fou, Summer. Ça m’épuise de te désirer, d’être avec toi. (Il lève les bras en l’air avant de glisser ses mains dans ses cheveux.) Je suis quelqu’un d’introverti. Alors que tu es la définition même de la mondanité. C’est épuisant.

Ce serait simplement plus agréable si les femmes redevenaient un peu plus solidaires entre elles, comme au bon vieux temps.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Olivia et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Le marchand de sable de Alexia Gaia

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Je ferai ce qu’il faut pour qu’elle me revienne.

Je ne serais définitivement pas comment vous décrire le plaisir que j’ai eu à lire l’histoire de Mane et Nott.

Voilà plusieurs nuits que Nott ne dort plus, non pas à cause de soucis personnels mais suite à l’apparition d’un être étrange qui s’invite chaque nuit dans ses rêves.  Un être étrange et intriguant.  Mais lorsque Nott croise le chemin de cet astre dans la vraie vie, elle va découvrir que son monde n’est pas celui qu’elle pensait être.

Comme dis précédemment, ma lecture m’a captivé du début à la fin. Ne lisant jamais les résumés, j’ai emprunté le Bifröst en moonwalk : excitation, ravissement, plaisir m’ont accompagné durant le périple de Nott et Mane. A chaque passage, je m’attendais à un essoufflement, mais Gaia a su maintenir mon attention et aiguisé mon envie. Il est clair que si je n’avais jamais vu les #Avengers mon attention aurait été différente, j’étais dans un environnement familier.

Au fil des pages on découvre les dieux d’Haasgard : Sol, Hel, Kyle, Ella, Kvasir, Meilli – Odin, Hati et Alfheim, leurs implications dans la vie de Mane.  Mane ou Mani, le dieu de la lune et accessoirement héros du roman m’a directement plu son sale caractère, on ne tire pas trop sur le côté méchant garçon et cette petite sensibilité étaient un très bon mélange.  Cet astre torturé en quête de réponse et plus que tout en quête de retrouvé sa compagne envoyé sur terre m’ont rendu toute guimauve.  En ce qui concerne Nott, je n’avais aucune crainte à son égard, car à sa place je me serais plus cru dans la peau d’une héroïne d’un polar, que dans une romance.  Une herculéenne au bord de la falaise de sa vie. Au fil de la trame on découvre les liens tenus entre les personnages, passé et présent communs, les petits secrets des dieux et la raison pour laquelle Nott est la cible de Mane.

Pour ce qui est de l’auteure, je l’avais découverte en mode badboy, babyboom et ce petit revirement n’entrave en rien sa plume, bien au contraire.  J’ai eu du plaisir à la retrouver – après des années Haasgaardien, soit des mois terriens … ou l’inverse – dans ce nouveau registre enchanteur.

Pour conclure, une très belle découverte, dans le fond et dans la forme, une petite intrigue romancée, des personnages astrales captivants et un besoin de connaitre la suite des aventures de #NottMane

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Il n’y a que lorsque je ferme les yeux que je la vois. Il n’y a que dans le monde des Songes qu’elle m’est encore accessible, celui dans lequel mes angoisses s’impriment sur mes rêves pour se jouer de moi et se transformer en terreurs nocturnes. Même dans ce monde à part, elle me fuit sans assumer son choix et enfonce la lame brûlante de sa trahison dans mon cœur glacial.

Mane

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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Ne crois pas que tu m’aimes de Alfreda Enwy

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— Pourquoi tu as refait ta vie, alors que tu étais la mienne ? je dis calmement. Pourquoi tu m’as laissé seul là-bas, alors que tu avais dit que tu serais là ?

Avant même de me lancer dans cette lecture, je savais que la romance d’Alfreda allait me transporter et c’est effectivement ce qui s’est passé !

D’aussi loin qu’elle s’en souvient Autumn a toujours été lié à Mao.  Son confident, son meilleur ami.  Bien que menant une jeunesse tumultueuse, Mao a toujours été là pour son amie et lorsque les circonstances de la vie les séparent, Mao ne souhaite qu’une chose : retrouver son amie, son amour.

J’ai lu ce roman tel que présenté dans la version ebook en respectant les deux parties … Non, je rigole après la première partie, je me suis demandée comment les premières lectrices ont réussi à attendre sans piraté le pc de l’auteure ou de son Editrice.

Oui je me suis laissée transporter par la belle histoire de Mao et Autumn. Ces jeunes adultes qui doivent très vite assumer des responsabilités d’adultes.  J’ai directement accroché au personnage de Mao, ce jeune homme qui n’a que ces poings pour se faire entendre.  Bien qu’ayant mûri, on ressent toujours le feu qui l’habite.  Je ne dirais pas que j’ai eu du mal avec Autumn mais à quelques reprises ces choix m’ont donné envie de la secouer.  Sans jugement, bien-sûr.  Mais zut .. Mao est un Zorro qui ne mérite pas qu’on lui tourne le dos.

La trame est tantôt douce, tantôt dure, tantôt rempli d’espoir, d’appréhension, doute et plus que tout de plaisir.  J’ai vraiment tout affectionné dans ma lecture.

Pour conclure, la création romanesque d’Alfreda a une fois de plus réussi son pari : me conquérir avec ces jeunes héros : A&M !

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— Je n’aurais jamais dû entrer dans ta vie, je dis. Tout est ma faute… — Impossible, tu sais bien que d’une manière ou d’une autre nos chemins se seraient croisés et comme maintenant on se serait aimés comme des fous. Tu es la seule à m’avoir rendu si sauvage, si vivant, si important… — Ne crois pas que tu m’aimes alors que… — Ce n’est plus une histoire de croire. C’est avéré. Tu devrais le savoir. Peut-on seulement aimer à ce point de folie ?

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— Je suis un enfoiré de première, mais j’ai toujours essayé de me contrôler avec toi, car tu es la fille la plus précieuse qui soit à mes yeux. J’ai déconné. Tu peux arrêter de te battre, je sais tout. — Tu sais tout ? Je crains ce qu’il va dire. Qu’est-ce qu’il entend par là ? — La seule chose qui me terrifie plus que de t’affronter finalement, c’est de te perdre définitivement. J’ai peur d’être allé si loin que ce soit irrécupérable entre nous.

Extrait partie 2

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Melanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Is it Love? Carter Corp, tome 2 – Matt de Eva de Kerlan

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Je l’avais attendu ce tome 2, car je voulais découvrir comment ce nouvel auteur allait donner vie à la trame, donner vie et envie de Matt et plus que tout allait-on rester fidèle à l’appli?

Bien qu’ayant passer un bon moment, j’ai été un peu déçue car je m’attendais à une suite directe des aventures de Gabriel, j’ai eu la sensation qu’on avait fait un reset.  Il est clair que si on n’a pas lu le précédent opus on n’est pas du tout dépaysé car outre les mâles de l’histoire du côté des filles on ne garde que la secrétaire et on découvre Emma, la collègue direct de Matt, qui a plus qu’un faible pour notre héros.  Mais voilà, Matt est un coeur à prendre avec des pincettes et plus que tout Matt tient à tout préserver autour de lui et pour lui afin de ne pas réitérer les erreurs du passé.

Je ne pourrais dire si Emma est restée fidèle au jeu, car je suis encore entrain de me battre avec Gabriel et je ne joue pas tous les jours.  Toujours est-il qu’au fil de la trame on découvre que derrière les sourires et l’humour de Matt se trouve un homme meurtri avec un double maléfique qui m’a totalement captivé, oui j’étais plus sensible au jumeau de Matt qu’au héros de l’histoire… Oups !  Du côté d’Emma, son personnage est intéressant,  je n’ai pas spécialement fait de bon avec elle, sympa mais sans plus il n’y a pas eu de départ de feu d’artifice.

Bien entendu, Gabriel va faire quelques apparitions, et je lui ai trouvé un air de tyran, il était lourd- redonnez-lui un coeur et des sentiments par pitié -.  Colin aka M. Taciturne sort un peu plus de sa coquille pour son – ses – ami(s) et une réapparition de Ryan.

Pour conclure, une petite trame agréable dans l’ensemble même si j’ai regretté le manque de vraie suite et des personnages plaisants.

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Franchement, la vie, c’est quelque chose d’étrange.  Il y a quelques semaines encore, le seul mâle qui occupait toutes mes pensées, c’était Bambou.  Et puis soudain, il y a Matt auprès de moi – pour me réconforter, m’écouter pleurer sur mon sort, me faire rire avec ses blagues vaseuses.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Celia pour l’envoi de ce Service-Presse

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Sugar Bowl, tome 3 – Sugar Free de Sawyer Bennett

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Ce n’est pas parce que j’ai fait tout ça au nom de l’amour que ça fait de moi quelqu’un de bien.

Je pensais avoir tout lu et ce ‘end’ était bien au-dessus de tout côté suspense, jusqu’au bout j’ai craint le pire pour Beck et Sela.

⇒ Attention si vous n’avez pas lu les précédents tomes, je vous invite à vous plongez dans l’aventure de la SugarDaddy à la plus courte carrière .. Sans déconnez évitez le spoiles et plongez vous dans les romans.

Alors qu’un nouveau jour se lève, Sela va devoir faire face à son dernier acte, désireuse d’assumer la pleine mesure de ses actions, l’enquête va prendre un autre tournant en faisant de Beck le principal suspect.

Comme dis précédemment, ce dernier opus était riche en suspense. On suit l’enquête de police et plus particulièrement l’enquête sur – ou contre – Beck, à chaque étape un élément fait de lui le coupable idéal. Nos héros vont devoir se battre et faire face à la suite de preuves (ir)réfutable.

L’histoire est totalement captivante, j’exaltais à chaque moment-clé, mais plus que tout, je craignais pour Beck. Sawyer a maintenu le suspense jusqu’au bout. Je voyais les pages défilés et aucune issue pour la fin, j’en suis arrivée à suffoquer et à vouloir lire la fin pour abréger ma souffrance mentale.

La star du roman est sans conteste, Beck, il assume son rôle de petit ami-chevalier blanc. Son courage un peu fou était admiratif. J’ai eu quelques fois envie de secouer, gifler Sela. Son dernier acte m’avait agacé au plus haut, point  » vouloir jouer en solo » et son silence ne m’a pas aidé dans la première partie de ma lecture. Heureusement elle est revenue vers de bien bonne disposition.

Sawyer a bien fait évoluer ses jeunes héros, il n’y avait aucune fausse note, dans leur jeux, un rien de redondance dans cette volonté de taire certaines choses, mais dans l’ensemble le roman est un réel plaisir et un très bel happy end.

Pour conclure, un dernier opus plein de tension, de suspense et de plaisir qui est plus que nécessaire si vous avez englouti les précédents opus.

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Sela, il n’y a personne en ce monde que j’aime plus que toi. Vraiment personne. Je ne me prends pas la tête à me demander pourquoi tu as fait irruption dans ma vie, ou à analyser les circonstances merdiques de notre rencontre. C’était le destin, putain. Comme s’il y avait eu cet énorme puzzle juste devant moi… le puzzle d’une vie parfois simple, mais à laquelle il manquait quelque chose. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais il manquait des pièces. Je ne m’en suis aperçu que quand tu es arrivée et toutes les pièces ont commencé à prendre leur place.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Morgane pour l’envoi de ce Service-Presse

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