J’ai eu peur ! Oui, oui, j’ai eu très peur après la fin tragique du tome précédent, j’ai vraiment craint, pas trop sur le drame que rencontre – encore – la famille Royals, mais plus sur le fait d’être un rien plus désenchanté par mon attachement pour Easton. Et pour le coup, mon ammouuurrrrr pour celui-ci a fait comme le phénix : il est revenu à la vie !!!
Alors que les Royals traversent encore une tragédie, Easton va devoir jongler entre sa famille et l’amnésie d’Hartley.
Comme dis précédemment, j’avais nourri quelques craintes, qui furent balayé au bout d’un chapitre. Le roman commence directement après les évènements tragiques du tome 4 et ils sont directement suivi par le drame personnel d’Hartley.
Je me suis un peu agacée, en première partie, je n’ai plus le temps avec les discussions de gamines et lorsque Felicity se joue d’Hartley, je ne savais pas qui je devais gifler en premier la victime ou la menteuse ? C’était gros comme une montagne et voir Hartley mordre à l’hameçon était vraiment agaçant. Du côté d’Easton, je n’ai pas retrouvé l’Easton du début, non j’ai retrouvé un nouvel homme, pas un jeune homme, mais un homme qui a dû prendre quelques responsabilités d’adulte, se battre pour son histoire d’amour, se battre pour sa famille. Et tout cela en moins de 5 minutes, et dire que papa pensait qu’en lui coupant les vivre il deviendrait plus mature… Un bon choc, et c’est parti !
Les Royals sont de nouveaux mis sur la sellette. Autant dans le premier drame qui les a touchés, je les avais trouvés fort soudés, ici pour le coup c’était Easton contre Tous ! De furtive apparition des autres membres de la famille. BIG BIG Up à l’attention de Sawyer. La famille d’Hartley n’est pas en reste, on va avancer dans les soupçons autour de son père. On aura droit bien-sûr à un bon rebondissement et un bon choc. On voit que les auteures ont voulu avec cet opus mettre un point « final » à cette série … Mais chhuuuttttt un nouvel opus vient d’être publié. Gageons pour voir très très vite l’adaptation VF.
En bref, très bon « end », qui m’a offert un très bel aperçu du personnage d’Easton, un roman toujours aussi bien écrit, des personnages toujours aussi attachants, sans oublier la bonne dose de plaisir.
Quand j’essaie de presser sur cette boîte noire dans laquelle est enfermé mon passé, il y a cette impression de mort. C’est comme si j’étais au milieu du désert, avec personne autour de moi, et qu’il n’y a jamais eu personne.
Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Celia et Magali pour l’envoi de ce Service-Presse
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