La fille, tome 2 – de l’océan de Alexis Aubenque

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Je vais vraiment finir par croire que le monstre du Loch Ness existe et qu’il a infesté les eaux de Santa Barbara.

Bien des années après la fille de la plage, on retrouve nos jeunes héros.  Ils ont tous grandis, avancés dans leur vie personnelle et privée.  Jason est devenu, garde-côté, Keith, journaliste et la belle Sandy est rentrée dans les forces de l’ordre. Mais lorsqu’un nouveau drame vient secouer cette paisible ville côtière, le destin de nos jeunes amis sera de nouveau secoué.

Dans ce second voyage aquatique, Jason, va sauver de la noyade une jeune artiste, Vicky Lance, au même moment son ami Keith va suivre le parcours d’une mère-célibataire dans son activité professionnelle : strip-teaseuse.  Du côté de Sandy, la découverte d’un corps au bord d’une falaise va également donner naissance à une grande enquête, mais au fil des pages on découvre le lien tenu entre ces faits divers.  Nos héros ont bien grandis certains sont restés et d’autre comme Nathan se sont envolés pour Los Angeles.

Je dois avouer que j’ai eu un peu mal au démarrage, je ne situais plus qui était qui.  J’avais laissé des ados et paf je me retrouvais avec des adultes.   Mais dès que le train s’est remis sur les rails, ce fut un réel plaisir, le chassé-croisé dans les enquêtes étaient bien ficelés, je ne dirais pas que je suis sortie totalement addict mais il est clair que les drames se jouant dans les eaux – troubles – de Santa Barbara ne m’auront pas laissé de marbre.  Alexis tient le lecture en alerte du début à la fin, chaque mot est agréablement bien posé. #Spoiles

La fin m’a tellement prise par surprise, m’a tellement retourné les synapses que je n’ai pas pu m’empêcher de me demander comment je réagirais dans ce type de situation.  Autant vous dire, que je sors mi-indemne de cette lecture.

Pour conclure un thriller captivant qui plaira aux lecteurs.trices de la première heure !!!

#ALire

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Olivia et Jessica pour l’envoi de ce Service-Presse

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Pendergast, tome 14 – Tempête blanche de Preston & Child

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Je pense sincèrement que mon fusible horreur a déraillé car voyez-vous, je suis la Présidente du comité des peureuse, et avant même de commencer ma lecture je savais que j’allais lire que d’un oeil, sauter quelques paragraphes mais il faut savoir vaincre ses peurs et  » Tempête blanche », m’a fait frissonner juste comme il fallait.

J’ai directement accroché à l’histoire, Corry, jeune étudiante qui doit présenter sa thèse va vouloir étudier le cas de prospecteurs retrouvés mort et enterré dans le cimetière de Roaring Fork. Mais sitôt arrivé, Corrie va recevoir un refus d’investigation, qu’elle va contourner et qui l’obligera à appeler à l’aide l’inspecteur Pendergast pour l’aider à se dépêtre des autorités locales et de la matrone de la ville, Betty Brown Kermode et plus que tout pour découvrir ce qui s’est réellement passé dans ce petit coin reclus de la civilisation.

Bien qu’étant captivante, je n’ai pas lu le roman d’une traite, j’ai fait quelques pauses lorsque je ressentais que la trame commençait à s’étirer et ne voulant perdre mon plaisir je me mettais en pause. 4 en tout, c’est pas la mer à boire ! Au fil des pages, j’ai découvert un inspecteur avec de l’expérience, du bagou qui a su être à la proue du chassé-croisé dans enquêtes. Corrie qui est à l’origine de l’histoire m’a directement plu, je ne l’ai pas trouvé agaçante, elle a du mordant. On découvre des personnages annexe : le chef de police et le clan Kermode et l’invité de marque Sherlock Holmes.

Je ne connaissais pas du tout ce duo d’auteur et après cette lecture, la première chose que j’ai fait, a été de recherches des livres audio sur leur bibliographie et plus particulièrement sur l’inspecteur Pendergast.

Pour conclure, très bon thriller mélangeant passé et présent, des personnages captivants, un Inspecteur attrayant et une plume qui vous garde en haleine du début à la fin !

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… Oups ! J’ai comme qui dirait oublié de trouver un extrait marquant :/

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Robin pour l’envoi de ce Service-Presse

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Mon ombre assassine de Estelle Tharreau

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Une institutrice mise en examen pour « homicide involontaire »

J’étais déjà une grande parano pour mes filles et le milieu scolaire – bouh honte à moi -, mais cette lecture ne m’a nullement réconforté bien au contraire !!

Nadège Solignac, est une jeune institutrice sans histoire et apprécié de tous.  Mais un jour, sa vie va basculer elle va être inculpée du meurtre de l’Inspecteur Fabien Bianchi.  La mission de l’Inspecteur Nadine Tratu sera de prouver la culpabilité de cette instit bien sous tout rapport.

En lieu et place d’une enquête de police, on nous offre les petits secrets de Nadège, son enfance, ses drames et plus que tout ces nombreux crimes.  Oui, nombreux ! Au fil des pages, j’ai attendu le moment de répit, celui ou tout allait basculer pour Nadège, mais à chaque étape, mon souffle s’entrecoupait dans ma gorge et mes yeux sortaient un peu plus de leur orbite.

Je n’ai eu aucune excuse pour Nadège, mais il est clair que meurtre ou pas, sa famille – dans son ensemble – est à pointer du doigt.  Il est clair que je ne souhaite cela à personne, sa situation m’a frustré et fait grincer des dents.  Mais cela n’empêche tout ce qu’elle a fait et plus que tout cela ne peut être totalement pris comme état de cause. Ce n’est que mon avis, je ne suis pas juge !

L’Inspecteur Tratu mène cette enquête comme un maître de cérémonie.  Son personnage m’a beaucoup plu, elle est incisive et l’estomac bien en place ! Je dis cela car j’ai un rien tourné de l’œil .. Rien de glauque, mais Nadège est un mille-feuille de personnalité, sans oublier les interrogatoires du frère de Nadège, de ses amis et collègues qui ont tous un rôle dans l’une des vie de Nadège.

Second roman de l’auteure, et j’ai encore pris énormément de plaisir avec sa plume.  Estelle m’a offert un petit – non grand – ascenseur émotionnel.  Aucune fausse note, du plaisir, de la frustration, du stress de la crainte et un rien d’espoir

Enfin, un thriller surprenant, saisissant mais plaisant, une auteure à la plume captivante.

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Excuse de féminité

Pendant longtemps, le crime au féminin a été sous-évalué car le sexe faible, par essence inférieur, était perçu comme dépourvu de dangerosité, incapable de tuer et encore moins de réitérer des crimes. C’est pourquoi, pendant longtemps, les femmes ont bénéficié « d’un préjugé positif,
une excuse de féminité » qui a souvent joué en leur faveur affirme la criminologue. Hormis les sorcières et les empoisonneuses, hier comme aujourd’hui, en cas d’inculpation, les femmes ont toujours été moins poursuivies que les hommes et donc moins incarcérées. « C’est aussi l’image de la femme en tant que mère bienveillante et aimante qui a faussé le regard social » […]

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Joël pour l’envoi de ce Service-Presse

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#IG International Guy, tome 10 – Madrid de Audrey Carlan

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Quand est-ce que ce sera fini?

OMG ! Just … O-M-G ! Vous ai-je déjà dit à quel point cette série monte en puissance !? Non? Oui? Peu importe, ce volume m’a rendu aphone, mon cris est resté bloqué dans ma gorge, mon souffle s’est coupé et je n’ai qu’une hâte lire la suite des aventures de Parker and co.

Alors que nos amis se remettent tout doucement de leur dernier drame, que chaque protagoniste tente de retrouver une vie normale, malgré le corbeau qui s’immisce dans la vie de #SkyPar, les #IG avec l’aide de Skyler s’envolent pour Madrid pour aider une futur star en herbe.

Pour ce qui est de la trame, la partie mission a vite été bouclé. J’ai apprécié les interventions de Skyler à l’égard de la star en herbe.  Elle est agréable ne se prend pas la tête et surtout ne joue pas à la diva.  Le suspense autour du corbeau est toujours omniprésent, j’ai quelques doutes sur celui-ci mais j’attends la suite avant de fanfaronner sur ce point.  On retrouve bien entendu, toute la bande des #IG, et l’amour dégoulinant entre #SkyPar

En bref, un petit séjour madrilène qui n’aura pas été de tout repos pour nos héros !

Et le mot  de la fin …

 

Est-ce que cette personne en aura assez, un jour ?

A quoi dont-on s’attendre, maintenant ?

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– Je t’aime tellement, Sky. Je n’ose même pas imaginer… Sa voix se met à trembler et il ne termine pas sa phrase. Je me dégage de son étreinte pour m’asseoir sur ses genoux et le tenir dans mes bras.

– Je t’aime aussi. Plus que je ne le pensais possible, je chuchote en appuyant ma tête contre la sienne. On va s’en sortir. La vie va forcément nous lancer des défis, mais pour l’instant, cela n’a fait que nous rendre plus forts. Ce sera toujours comme ça, tu verras.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Morgane et Célia pour l’envoi de ce roman

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Paris –  CopenhagueNY MontréalLondresSan Francisco MilanBerlinWashington DC

Comme toi de Lisa Jewell

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Ton aura est tellement effacée que je n’arrive pas à en voir les nuances, Laurel.

Vous connaissez ces romans qui avant même d’être lu, vont vous retourner les synapses ? Et bien, ce thriller m’a totalement chamboulé.

10 ans après la disparition de sa fille, Ellie, Laurel n’a pas oublié.  Comment demandé à une mère d’oublier dont la fille a été enlevée, retrouvée morte bien des mois plus tard et pour lequel le/la/les coupable(s) n’a/n’ont pas été arrêté(s) d’oublier et ce n’est pas l’apparition de Floyd, et de sa jeune fille, Poppy qui ressemble étrangement à Ellie qui va l’aider à panser ses peines.

L’histoire suit un fil conducteur mélangeant passé et présent dont le suspense qui monte crescendo m’a totalement captivé, elle ne souffre d’aucune redondance et je n’ai eu qu’une hâte en connaitre l’issue et mettre un terme à mes suppositions.  Le personnage de Laurel force le respect,  je ne pense pas que mon petit coeur de maman aurait pu rester calme face à une telle apparition.  J’ai apprécié le fait que chaque protagoniste ait voix au chapitre.  C’est sur l’histoire de Lisa m’a marqué au fer rouge !!!

Pour conclure une histoire palpitante, des personnages aux milles et une facette et un suspense attrayant !!! A LIRE ^^

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Laurel croise le regard de sa fille en allant s’asseoir.  Elle lui sourit.  Hanna lui fait un clin d’oeil et lui envoie un baiser.  Sa magnifique fille.  Sa fille chérie.  Laurel attrape le baiser et le porte à son coeur.

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Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Stephanie pour l’envoi de ce Service-Presse

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Les fantômes du passé, tome 1 – Amnésie de Cambria Herbert

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Tu es convaincu qu’une légende entoure ce lac, hein ? me demande Eddie, en ouvrant la boîte contenant les beignets.

Avant de me lancer dans cette lecture, je savais par avance que la trame allait me plaire. Non, pas seulement pour une question d’auteur ou d’Editeur, mais pour l’ensemble :  Une couverture attrayante, un titre interrogatif, une auteure que j’avais découvert dans un tout autre registre et que j’ai eu l’impression de découvrir pour la première fois avec l’histoire d’Amnésie.  Cette jeune demoiselle retrouvé sur le bord du lac par Eddie.  Cette jeune demoiselle qui a tout oublié d’elle et qui se rend compte au fil des jours qu’elle ne s’est pas retrouvé là par hasard, que le mal la guette et qu’elle ne trouvera de réponse qu’auprès de ce mal.

Même si Amnésie est plus que bien entouré par ses nouveaux amis, Mary Beth, Ellen et Eddie.  Elle aurait pu faire l’histoire, à elle toute seule.  La présence d’Eddie est indispensable car il l’a sauvé.  Il garde sa place d’ami et de protecteur.  J’ai ressenti la naissance de sentiments, mais tout cela m’était secondaire.  Je voulais savoir comment tout cela allait se terminer et surtout comment tout cela avait commencer.

Le suspense va crescendo, je dois dire qu’au vu du démarrage pour moi tout le monde était suspect.  Je me suis fait un  » qui est-ce? » version lecture, j’ai éliminé ma menace au profit d’une autre menace : l’inconnu qui m’a tenu en haleine.  Sans oublier l’intrigue née autour du lac.

L’histoire est belle et triste en même temps. J’ai vraiment pris « mon pied » et j’attends avec impatience la suite.

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Quoi que tu découvres, cela n’aura pas d’importance.  Tu es à moi pour toujours.

Je tiens encore à remercier NetGalleyFrance, l’Éditeur et plus particulièrement Joanna pour l’envoi de ce Service-Presse

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Follow me back, tome 2 de A.V Geiger

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En bref : C’est bien quand ça se termine !

Navrée de commencer ma chronique de cette manière, mais autant j’avais adoré le premier opus, autant cette suite aura vraiment pris du temps pour être lu, pour être apprécié et pour se terminer !

Le roman commence dans le feu de l’action.  Après avoir fait croire au monde entier à la mort du beau Eric, nos jeunes héros vont être retrouvés vivants et vont devoir s’enfuir, car la simulation de mort est punissable par la loi ! Donc Michael Jackson, revient !!!

Ce qui avait été rocambolesque dans le précédent tome, ne l’es plus ici.  Tout me paraissait lourd, trop fake, trop, trop et ce n’est pas le psychopathe qui poursuit Tess qui aura arrangé les choses.

Il était intéressant de voir Tess en dehors de sa chambre et de sa vie virtuelle, à croire qu’elle aurait mieux fait de rester dans de l’abstrait avec toutes les péripéties qu’elle rencontre.  Eric, oui, bien mais sans plus.  Étant donné que tout me paraissait lourds, et bien nos héros n’y ont pas écopé.  La trame est toujours entrecoupé des interrogatoires – seul moment « palpitant » -.

Dommage, car le clap de fin présageait une trame palpitante et ce fut tout autre.

Tant pis !

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Tu le voulais pour toi toute seule.  Tu n’avais pas mis le grappin dessus que le voilà qui commence à me mentir.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et NetGalleyFrance pour l’envoi de ce Service-Presse

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Companyof Killers, tome 1 – A la recherche de Sarai de J.A Redmerski

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Je suis prise au piège dans les bras d’un tueur impitoyable, mais c’est là que je veux être.

En un mot : Une tuerie … En quatre : Ou est la suite ? Très belle surprise, une trame dramatique, sur fond de dark romance : Sarai et Victor m’ont captivé !

9 ans.  9 ans que Sarai, vit enfermé dans la tour dorée du trafiquant Javier, jusqu’au jour ou un américain, va venir s’entretenir avec celui-ci.  Sarai, y verra une porte de sortie, sa porte de sortie vers la liberté, et (re)trouver sa vie d’avant.  Ce que Sarai, n’avait pas imaginé c’est que son sauveur n’a rien du prince charmant et a tout l’attirail du parfait tueur en série.

Dès le départ, on entre dans le vif du sujet.  Sarai était une enfant, lorsqu’elle fut vendue au trafiquant, Javier.  Elle a très vite compris que pour survivre, elle devait se plier aux exigences de son bourreau.  Malgré sa captivité, Sarai ne perdra jamais de vue son objectif : fuir.  Même si elle se doute que l’Américain, n’est pas tendre – de part ses liens avec Javier -, elle ne pourra passer à côté de sa chance et va vite découvrir que son nouvel allié, est un tueur à gage.

Victor.  Victor. Victor.  Ce personnage a directement capté mon attention.  Son côté sombre, méchant, taciturne qui n’en touche pas une et pourtant, me l’ont rendu séduisant.  Oui, oui il n’y a que dans les films et les dark romance qu’on est atteinte du syndrome de Stockholm.  Mais j’assume complètement mon envoûtement pour Victor.  Sarai est une femme, non pas une jeune femme ou fille, car elle a grandi trop vite.  Elle est forte, elle a du caractère, du bagou et même dans la misère de sa vie et des obstacles elle arrive à garder la tête hors de l’eau et à trouver ses priorités.  Je ne lui ai pas trouvé un seul défaut, j’ai craint pour elle, mais à aucun moment, je n’ai eu de doutes sur sa force physique et mentale de tueuse.

Je ne vais pas trop revenir sur la trame, J.A nous offre une belle histoire sur fond de dark romance.  L’évolution des personnages est très bien faite.  Un vrai mélange de plaisir, de stress, d’addiction et de AGAIN !

Vivement le second opus et découvrir … Izabel !

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Je n’aurais jamais cru me trouver un jour dans la position de ces pauvres filles que l’on voit dans les films d’horreur, celles qui se réfugient en courant dans une maison où les attend un plus grand danger que celui qu’elles fuient, ou qui trébuchent en s’enfuyant dans les bois.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et NetGalleyFrance pour l’envoi de ce Service-Presse

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Rider in the dark de Sara June

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Avant de commencer ma lecture, ma première réflexion a été de me dire :  » Encore une histoire de biker ! ».  Mais contrairement, à mon adage  » je ne lis jamais les résumés », une force mystique m’a poussé à regarder le résumé et rien que la phrase accroche, avait joué son rôle.   » Il est un biker.  Craint par tout le pays.(…) ».  WHAT A F***** ! Mais qu’a fait cet homme pour être craint par tout un pays ? Rien que pour CA, je me devais de plonger dans la story de Hush et Lily.

Fraîchement débarquée à Hedonas, Lily qui bosse au restaurant de Shirley, va croiser le chemin de Hush et de ses frères les Dark Soldiers. Malgré son mantra, elle ne peut continuer à rester insensible aux charmes de Hush.  Biker ou pas, Lily compte profiter de chaque moment avec celui-ci avant d’être rattrapée par son passé.

Contrairement à ce qui a été écrit par l’Éditeur, je vous rassure Hush n’est pas craint par tout un pays – on parle quand même des USA, ce n’est pas rien -, mais de quelques régions, ou sont implantés les chapitres des Dark Soldiers.  Autre fait qui m’a plus qu’étonné : j’ai lu cette histoire en une soirée/nuit.  Oui, je me suis laissée prendre au jeu de Hush et Lily. L’histoire est un déjà-lu : une jeune demoiselle en détresse qui va tout quitter pour aller s’enterrer dans un coin perdu et qui va réussir à attirer et à faire plier le beau biker – écorché par la vie -.  Un passé désastreux de part et d’autre, un drame, une histoire d’amour, des tattoos, des coup de chaleurs, … Bref, rien de neuf sous le soleil et pourtant on se laisse prendre au jeu, car il ne suffit pas juste d’avoir tous les ingrédients encore faut-il apporter la juste dose.  Et même si le roman n’est pas un coup de coeur, ou un bon coup de slip kangourou, j’ai été captivée comme il se doit.  Pas trop de redondances, une trame en perpétuel mouvement qui peut – effectivement – à quelques moments vous faire faire les yeux ronds !!!!!

Outre nos héros, on découvre les frères de Hush les Dark Soldiers : Kill, Patch, Tips, Scott, Mace et Connor le Préz(s).  Dee, accessoirement la sœur de Patch et fille du Préz(s).  Tous les personnages sont très bien mis en avant, pas de second rôle.  Mais je croise les doigts pour que Patch, Dee et Kill aient leur petite histoire * mon cerveau bouillonne *.  Sara, n’omet aucun détail -standard – quant à la vie du club.

En bref … La suite c’est pour today ou demain … Suis pas gourmande, juste que je me suis laissée prendre à mon propre piège et que maintenant je suis stimulée par les biker d’Hedonas !!!

Again 🙂

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Je te désire, j’ai envie de te découvrir, te côtoyer, précise-t-il.  Et même si le plus raisonnable serait de te tenir loin de moi et loin du club, je n’en suis pas capable.  Si ça fait de moi un putain d’égoïste.  Un lâche … Et bien soit !

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Âme obscure, tome 1 de Aleksandr Voinov

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L’initiative te revient.  Fais-en bon usage.

Un volume ? De plaisir ? Ou bien de torture ?   Je craque ! Je n’ai rien compris au moment où j’atteignais le point culminant de l’implosion ma lecture toucha à sa fin.  Donc autant vous dire que je suis UL-TRA frustrée.

Italie.  Alors qu’il attend son tour, pour dire au revoir au Vieux bouc, Stefano Marino, – mafieux de la branche new-yorkaise -, va voir ses sentiments de mâle troublé par l’arrivée de Silvio Spadaro, le second et héritier de Gianbattista Falchi, autre roi de la pègre italienne.  Malgré, ce trouble, Stefano ne peut oublier ces obligations et la guerre de territoire qu’il doit mener contre les Russes et pour arriver au bout de cette lutte – et garder intact sa réputation et celle de ces aïeuls -, il va solliciter l’aide de Battista et se faire aider de Silvio.

Même si un jour, j’y avais pensé – c’est une manière d’entamer la conversation-, jamais je n’aurais cru lire un roman M/M sur fond de mafia.  Le côté ultra macho, ne peut laisser de place à cette orientation sexuelle, sauf pour terminer en tant que chèvre.  L’auteur aborde la relation de Silvio et Battista, tout doucement, la différence d’âge entre les héros ne m’a pas dérangé.  Jusqu’au moment où j’ai découvert le terme d’éphébophile.  En ce qui concerne, Silvio, il n’a aucun souci avec son orientation sexuelle, car il a réussi à se faire respecter et craindre en tant qu’homme par ses semblables.  Ce qui oblige les mauvaises langues à le laisser tranquille.  De son côté Stefano, est en pleine dualité entre ce qu’il connait – en temps qu’époux – et ce qu’il découvre de lui.  On gratte encore l’iceberg, mais je garde bon espoir pour la suite.

Heureusement, pour mes nerfs – LOL -, il y a une intrigue autour des mafias italienne et russe.  Une première ébauche qui mérite d’être développée afin de donner une petite touch supplémentaire dans la relation de nos héros.  Par contre, j’ai quand même eu un petit coup à mon « mafiaDream ».  Je les pensais plus résistants – aux coups – les mafieux. Tant pis.

En(fin), premier volume plus que captivant.  J’espère que la suite me permettra de faire exploser mon ballon de baudruche, car lààààààààààààààààà je suffoque !!!!!

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Spadaro lui tenait toujours la main et Stefano se rendit compte qu’il commençait à transpirer.  Ce n’était pas de la peur.  Mais cet homme était tellement intense.  Il n’était pas bizarre ni fou.  C’était un jeu mental, une guerre psychologique.  Le métier de tueur.

Je tiens encore à remercier l’Éditeur et plus particulièrement Maïween pour l’envoi de ce Service-Presse

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